RENAULT (-5,16% à 20,77 euros)
Après l'Alliance et Nissan, c'est désormais au tour de Renault de réaliser son grand oral. Le constructeur automobile a dévoilé ce matin les détails de son plan de réduction des coûts fixes de plus de 2 milliards d'euros sur trois ans. Ce dernier vise à restaurer la compétitivité du groupe au losange en privilégiant la génération de cash flow. Une étape nécessaire pour Renault qui a accusé l'an dernier sa première perte nette en dix ans et doit, de surcroît, faire face aux conséquences dramatiques de la crise du Covid-19.