Bruno Le Maire prend acte de la décision de FCA de retirer son offre de fusion avec Renault.

' Dès la présentation de cette offre, l'Etat actionnaire de Renault à 15,1%, l'a accueillie avec ouverture et a travaillé de manière constructive avec l'ensemble des parties prenantes ' indique Bruno Le Maire.

L'Etat avait fixé quatre conditions à son accord définitif. La réalisation de cette opération dans le cadre de l'alliance entre Renault et Nissan, la préservation des emplois industriels et des sites industriels en France, une gouvernance respectueuse des équilibres de Renault et FCA et la participation de ce futur ensemble industriel à l'initiative des batteries électriques engagée avec l'Allemagne.

' Un accord avait été trouvé sur trois de ces conditions. Il restait à obtenir un soutien explicite de Nissan. L'Etat a donc souhaité que le Conseil d'administration dispose d'un délai additionnel de 5 jours pour s'assurer du soutien de l'ensemble des parties prenantes ' explique Bruno Le Maire.

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