Le comité spécial sur la gouvernance de Nissan pourrait ne pas nommer le nouveau président de Renault, Jean-Dominique Senard, à la tête du constructeur japonais, selon les informations du Financial Times. L’objectif serait d’éviter une trop grand concentration des pouvoirs au sein de l’Alliance, comme ce fut le cas lors de l’ère Carlos Ghosn. D’après le média britannique, Renault et l’Etat français poussent à la nomination de Jean-Dominique Senard au poste de président de Nissan.