Zurich (awp) - Roche reconnait n'avoir pas réussi à concrétiser le critère primaire d'une étude clinique de phase III - Imvigor010 - évaluant le potentiel de son anticancéreux à large spectre Tecentriq (atezolizumab) en monothérapie post-opératoire chez des patients atteints de cancer urothélial infiltrant le muscle vésical.

La multinationale pharmaceutique n'a constaté de prolongation de la durée de vie des patients sans progression de la maladie, précise un communiqué publié vendredi.

L'anticorps monoclonal Tecentriq est déjà homologué aux Etats-Unis et en Europe notamment contre diverses formes du cancer du poumon, de la vessie ou du sein.

Le traitement fait actuellement l'objet de nombreuses études, dont plusieurs de phase III, portant sur diverses formes de cancer: poumon, peau, organes génitaux, sein, intestins, ou encore tête et cou, en monothérapie ou en combinaison.

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