Selon le journal britannique, Howard Davies préférerait allouer ce surplus de capital au rachat d'actions RBS à l'Etat mais il ajoute qu'un dividende spécial n'est pas exclu s'il y a une forte demande des actionnaires en ce sens.

La banque, qui avait dû être sauvée de la faillite par l'Etat britannique lors de la crise financière de 2007-2009, est encore contrôlée à 62% par Londres.

"S'il y a une forte pression actionnariale pour un dividende spécial, c'est un sujet auquel nous réfléchirions", dit Howard Davies, cité par le Times.

Début août, RBS a annoncé le versement de son premier dividende en 10 ans, une décision vivement saluée par les investisseurs.

(Philip George à Bangalore, Benoit Van Overstraeten pour le service français, édité par Benjamin Mallet)