L'ambassade et l'opérateur télécoms n'ont pas souhaité répondre à la question de savoir si cette visite était liée aux demandes adressées par Washington à ses alliés européens pour qu'ils n'utilisent pas les technologies fournies par le groupe chinois Huawei, premier fabricant mondial d'équipements de réseaux de télécommunications.

Huawei est soupçonné de laisser le gouvernement chinois s'adonner à l'espionnage d'autres Etats, ce qu'il dément.

L'ambassadeur n'a fait aucun commentaire à l'issue de la visite, qui a duré une trentaine de minutes.

(Alberto Sisto, avec Giselda Vagnoni, Dominique Rodriguez pour le service français)

Valeurs citées dans l'article : Vivendi, Telecom Italia