THYSSENKRUPP : soutenu par l’arrivée d'Elliot
Le fonds américain ouvre donc un autre front en Europe. En mars dernier, il révélait détenir 6% du capital de Telecom Italia dans le but de "contrer" la gestion du premier actionnaire, Vivendi, avant de proposer son propre plan industriel. Après une bataille de deux mois, Eliott est parvenu à prendre le contrôle du Conseil d'administration de l'opérateur téléphonique.
Dans le dossier ThyssenKrupp, Elliott adopte une approche plus pacifique. S'il n'a pas révélé le montant exact de participation, le fonds a assuré qu'elle ne dépassait pas le seuil de 3% au-delà duquel une déclaration est obligatoire.