Le groupe français, qui avait arrêté ses forages en eaux profondes sud-africaines dans le gisement de Brulpadda en 2014 après des difficultés sur sa plate-forme, a fait son retour sur ce même champ en décembre dernier.

Alors que le groupe français a indiqué que le champ de Brulpadda pourrait receler entre 500 millions et un milliard de barils équivalent pétrole (bep), l'un de ses partenaires sur ce projet s'est montré encore plus optimiste, envisageant un potentiel de l'ordre de 1,5 à 3 milliards ce barils.

(Wendell Roelf, Nicolas Delame pour le service français)