Les actionnaires d'Aveva soutiennent l’offre améliorée de Schneider Electric, qui représente une prime de plus de 40 % par rapport au cours du groupe en août. Le français, qui détenait déjà 60% du développeur de logiciels britannique, devrait donc pouvoir s'emparer du reste, et ainsi priver la place londonienne d’une de ses principales entreprises technologiques.