ATOS (- 22,67% à 69,60 euros)

Fragilisé depuis fin juillet par une croissance organique décevante au premier semestre et par les "arrangements financiers" dénoncés par Credit Suisse lui permettant de doper son free cash flow, le spécialiste de la transformation digitale des entreprises subit un nouveau coup de grisou en Bourse après son avertissement sur sa croissance. Atos anticipe désormais une croissance organique du chiffre d'affaires de l'ordre de 1% en 2018 contre une précédente fourchette de 2% à 3%.