Dette américaine: "ne pas exclure" le risque de défaut (Schroders)
" Les actions seront probablement les plus sous pression " ajoute l'analyste, qui juge cependant " probable qu'il y ait une grande divergence au-delà des indices principaux ". " Les entreprises qui dépendent fortement des dépenses ou des subventions du gouvernement américain sont susceptibles de subir les pressions les plus fortes " tandis que les valeurs sûres pourraient mieux résister, notamment les secteurs défensifs et non cycliques, tels que les produits pharmaceutiques.
Si l'on est prêt à parier que le Congrès parviendra à relever le plafond de la dette à temps, il faudrait " chercher à arbitrer l'écart de rendement entre les bons du Trésor arrivant à échéance avant et après le début du mois de juin ". Pour l'analyste " l'élément clé sera le timing, le moment opportun étant celui où les inquiétudes concernant le plafond de la dette vont atteindre leur paroxysme ".