Entre hausse des coûts des matières premières, de la main d'œuvre, et annulation des commandes pour cause de pénurie de puces, les équipementiers et fournisseurs de l’industrie automobile souffrent et ne profitent pas de la flambée des prix des véhicules. Ils revoient donc leurs prévisions de bénéfice à la baisse et tentent de négocier avec les constructeurs. Le Wall Street Journal décrypte  les exemples du français Faurecia et de l’américain General Motors

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