Ce changement, provoqué par le retrait de la Grande-Bretagne de l'UE, laissera les informations personnelles sensibles de dizaines de millions de personnes moins bien protégées et plus facilement accessibles aux autorités britanniques.

La filiale d'Alphabet a l'intention d'exiger de ses utilisateurs britanniques qu'ils valident les nouvelles conditions de service, y compris la nouvelle juridiction, selon des sources bien informées. "Rien ne changera dans nos services ou dans notre approche de la protection de la vie privée, y compris dans la manière dont nous collectons ou traitons les données, et dans la manière dont nous répondons aux demandes d'informations des utilisateurs par les services répressifs", a répondu Google dans un courriel adressé à l'agence Reuters en réponse à ses interrogations.

Dans les mois à venir, d'autres entreprises technologiques américaines devront faire des choix similaires. Facebook a par exemple une organisation similaire à celle de Google