LEIDSCHENDAM, Pays-Bas, 18 août (Reuters) - Il n'existe aucune preuve de quelque implication que ce soit de la direction du Hezbollah dans l'attentat à la camionnette piégée ayant coûté la vie à l'ancien Premier ministre libanais Rafik Hariri et à 21 autres personnes en février 2005 à Beyrouth, a déclaré mardi un juge du Tribunal spécial des Nations unies pour le Liban (TSL).

Le TSL, qui siège dans la banlieue de La Haye, aux Pays-Bas, a entamé mardi matin la lecture du verdict dans ce procès fleuve et a annoncé que rien ne prouvait non plus une implication directe du gouvernement syrien dans cet attentat.

(Toby Sterling, version française Myriam Rivet, édité par Jean-Philippe Lefief)