En hausse

24SevenOffice Group (+9%) : Le conseil d'administration de la société suédoise a proposé de changer son nom en Done.ai Group, en accord avec le changement de stratégie de l'entreprise et son nouveau focus sur les technologies financières soutenues par l'intelligence artificielle. La société avait vendu son activité de planification des ressources d'entreprise à KKR en 2024. 

SMA Solar Technology (+7%) : Jefferies passe à l’achat en citant le potentiel de revalorisation de l'action après une chute de 75% en 2024. Jefferies estime que la valorisation de l'entreprise spécialisée dans les technologies solaires a atteint un point bas.

BioMérieux (+4%) : L'entreprise spécialisée dans le diagnostic in vitro a annoncé l'acquisition de 100% de SpinChip Diagnostics, une start-up norvégienne spécialisée dans les tests immunoessais, pour une valeur d'entreprise totale de 138 millions d'euros. bioMérieux détenait déjà 20% du capital de SpinChip depuis mars 2024 et prévoit un lancement de produit en 2026.

En baisse

Verbio (-13%) : Jefferies a abaissé sa recommandation sur le spécialiste des bioénergies et a réduit son objectif de cours de 22 à 11 euros. Les analystes ont évoqué des risques de bilan liés à de possibles dépréciations sur les certificats d'émission, ce qui pourrait entraîner des risques pour les perspectives financières. 

Unibail-Rodamco-Westfield (-3%) : La société foncière a vendu 25% de sa participation dans le centre commercial Centrum Cerny Most à Prague aux sociétés d'investissement Upvest et RSJ Investments pour une valeur d'entreprise totale de 553 millions d'euros. Cette transaction s'inscrit dans le cadre du plan de désendettement d'URW, qui a déjà réalisé ou sécurisé 1,6 milliard d'euros de transactions depuis janvier 2024.

PageGroup (-3%) : Le cabinet de recrutement britannique a réduit son nombre de chasseurs de têtes en raison de l'incertitude croissante sur le marché de l'emploi en Europe et a revu à la baisse ses attentes. 

Ericsson (-3%) : Bernstein Research reste vendeur du dossier compte tenu des conditions potentiellement difficiles pour les équipementiers télécoms européens après une année 2024 faible et une possible absence de stabilisation de la demande.