AMAZON.COM
Amazon.com et Disney seraient près d'un accord pour de régler un contentieux de près de deux mois durant lesquels le groupe d'e-commerce ne proposait plus en pré-commande les DVD du groupe de médias, affirme le Wall Street Journal. Ce dernier ne sait cependant pas si les deux sociétés finalisent un accord de long terme ou si les discussions ont suffisamment progressé pour qu'Amazon.com ait fait des concessions. Les prix et les publicités sur le site d'Amazon faisaient partie des sujets de discussion.

APACHE
La compagnie pétrolière et gazière américaine Apache s'apprête à céder un tiers de sa production de pétrole et de gaz dans le nord du Texas et dans l'ouest de l'Oklahoma, une transaction qui pourrait atteindre 2,5 milliards de dollars, a révélé Reuters citant des sources proche du dossier.

BIOTECHNOLOGIE
Le secteur américain des biotechnologies devrait être entouré ce mercredi après l'annonce d'un premier cas de fièvre hémorragique Ebola aux Etats-Unis. Les groupes qui recherchent des traitements potentiels contre cette maladie sont en forte hausse avant-Bourse. Biocryst Pharmaceuticals bondit de 12,99%, Newlink Genetics de 11,20% et Sarepta Therapeutics de 8,77%. Egalement concerné, le fabricant de tenues de protection Lakeland Industries grimpe de 11% à 7,70 dollars.

BOEING
L'administration fédérale américaine de l'aviation (FAA) exige des compagnies aériennes qu'elles remplacent certains écrans de cockpit fabriqués par Honeywell présents notamment sur plus de 1 300 Boeing pour éviter des interférences avec le Wifi. La FAA a également ajouté que ces écrans sont également vulnérables aux transmissions de fréquence radio de systèmes de communications par satellite, les téléphones cellulaires et d'autres signaux. En outre, le remplacement devrait coûter aux compagnies aériennes, qui disposent de cinq ans pour se mettre en conformité, près de 14 millions de dollars.

JPMORGAN
Un juge fédéral a donné tort à JPMorgan qui essayait de bloquer une action en nom collectif lancée par des investisseurs estimant avoir été trompés lors de la vente, avant la crise financière, de 10 milliards de dollars de titres adossés à des crédits immobiliers. Interrogée par Bloomberg, la banque américaine n'a pas souhaité commenter cette acquisition.