En hausse

  • DR. Martens (+28%) : le célèbre fabricant de chaussures a publié des résultats plus élevés que prévu. Il a relevé ses prévisions de croissance du chiffre d'affaires pour l'exercice 2023, tout en maintenant ses prévisions à moyen terme.
  • U-Blox (+7%) : Crédit Suisse a relevé de 77 à 92 CHF son objectif, en restant neutre après de bons chiffres. UBS salue aussi les bons résultats.  
  • Interparfums (+4%) : Kepler Cheuvreux a confirmé ce matin son avis à l'achat avec un objectif réitéré à 65 EUR. "D'après notre rencontre avec la société et certaines données récentes du marché, nous comprenons que l'activité en avril et mai est aussi bonne qu'au premier trimestre 2022", souligne l'analyste.
  • Acciona (+4%) : Alantra Equities a relevé de vendre à neutre sa recommandation, avec un objectif fixé à 223,12 EUR.
  • Reckitt (+2%) : le groupe fait partie des entreprises invitées par le président américain Joe Biden à une table ronde virtuelle destinée à mettre fin à la pénurie de lait infantile à laquelle les Etats-Unis sont confrontés. On y retrouve ByHeart, Bubs Australia, Reckitt, Perrigo et Nestlé.

En baisse

  • SAS AB (-9%) : le transporteur aérien suédois enchaîne une seconde séance de baisse après avoir déjà cédé 7% hier. Il a annoncé un projet de levée de fonds de 9,6 milliards de couronnes, soit environ 913 millions d'euros, pour renflouer ses caisses. "SAS continue de faire face à des défis de coûts structurels importants tout en faisant face à une concurrence accrue avec des structures de coûts bien plus faibles que SAS", regrette la société.
  • DWS (-7%) : rien ne va plus pour le gestionnaire d'actifs allemand, au cœur d'une enquête pour "greenwashing". Le CEO Asoka Woehrmann a posé sa démission. Il sera remplacé par Stefan Hoops à partir du 10 juin. Le parquet allemand a perquisitionné hier les locaux du groupe.
  • Zalando (-5%) : Barclays passe de surpondérer à pondération en ligne en visant 48 EUR sur le dossier.
  • John Wood (-5%) : John Wood va vendre sa division de conseil en environnement bâti pour 1,9 Mds$. Le marché espérait un prix un peu plus élevé. Berenberg estimait ainsi que la division pourrait rapporter 1,9 à 2,3 Mds$. L'opération devrait permettre au Britannique de se désendetter.