En hausse

  • Gerresheimer (+15,7%) : Le fabricant d'emballages spéciaux pour le secteur pharmaceutique et cosmétique aurait refusé une offre de rachat en raison d'un prix trop bas. C'est Bloomberg qui a propagé la rumeur, en citant Bain Capital comme prétendant.
  • Greenyard (+11,9%) : Les résultats du groupe belge ont dépassé les attente, qui lui permet de reprendre le versement d'un dividende. Les objectifs de moyen terme sont confirmés. Degroof Petercam a abaissé son objectif de cours de 13 à 11,50 EUR, mais reste acheteur.
  • Delivery Hero (+9%) : William Woods de chez Bernstein considère le titre comme une opportunité d'achat. L'objectif de cours est modifié à la baisse et passe de 95 EUR à 80 EUR.
  • Faurecia (+5%) : L'équipementier automobile se reprend avec le reste du secteur, les investisseurs étant à l'affût de valeurs avec un bêta élevé en phase de rebond, même fragile.
  • WH Smith (+7%) : Le distributeur britannique a fait savoir que sa performance annuelle se situera dans la fourchette supérieure des attentes des analystes, grâce à la reprise du tourisme et du travail en présentiel.
  • Temenos (+7,9%) : Temenos a convaincu la banque américaine TS Banking Group d'utiliser certains de ses services, alors qu'elle effectue une mue numérique complète, l'ensemble de ses activités bancaires devant être transféré sur la plateforme de Temenos..
  • Carlsberg (+4,65%) : Barclays a réitéré son opinion positive à "surpondérer" sur le dossier, dont l'objectif de cours a été relevé de 1023 à 1100 DKK.
  • Intesa (+4,5%) : Les valeurs bancaires européennes, italiennes en tête, réagissent positivement aux informations selon lesquelles la BCE a organisé aujourd'hui une réunion d'urgence hors cadre habituel.

En baisse

  • Getinge (-17,5%) : Le Suédois spécialisé dans le matériel médical a abaissé ses prévisions 2022 à cause de difficultés d'approvisionnement et de débouchés moins dynamiques que prévu.
  • Voltalia (-6,4%) : Oddo BHF est passé de surperformance à neutre en visant 22 EUR sur le dossier, en s'interrogeant sur les perspectives de moyen terme.
  • Elia (-6,5%) : Le gestionnaire belge de réseau énergétique cherche à lever plus de 590 M€, en plaçant des actions à 124,50 EUR pièce. Le titre décale mécaniquement en prévision de la dilution.
  • Siemens Healthineers (-6,3%) : Le groupe allemand est une victime collatérale de Getinge. Paradoxalement, Drägerwerk, plus proche du profil du Suédois, ne perd que 1%.
  • Hennes & Mauritz (-6,5%) : Le groupe textile suédois a publié des résultats trimestriels meilleurs que prévu, mais sa prudence sur l'avenir interroge. Les chiffres souffrent aussi de la comparaison avec le grand rival Inditex (Zara), qui avait impressionné la semaine précédente.
  • Atos (-5,1%) : Le titre du groupe informatique continue à s'enfoncer alors que la nouvelle stratégie dévoilée hier pose plus de questions qu'elle n'apporte de réponses à la situation dans laquelle il se trouve.