Stellantis va rembourser par anticipation un prêt garanti par l'État de 6,3 milliards d'euros que son prédécesseur Fiat Chrysler avait souscrit en Italie. Ce remboursement libère potentiellement le constructeur des conditions dont Rome l'a assorti : maintien des emplois italiens, délai de paiement des fournisseurs imposé et financement d'investissements nationaux.

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