Selon lui, il y a peu de risques que Continental se retrouve en situation d'insolvabilité, et il n'imagine pas qu'un tel scénario puisse se réaliser chez Schaeffler.

Il précise que le volume de la participation que le groupe familial pourrait céder n'est pas encore déterminé.

Lundi également, le patron du syndicat IG Metall Berthold Huber avait déclaré que la famille Schaeffler était prête à céder d'importants actifs de sa société pour réduire sa dette.

Une aide publique est indispensable, a ajouté Berthold Huber, qui ajoute que le financement de l'alliance du groupe de roulements à billes avec l'équipementier automobile Continental est en "danger aigu" en raison de la crise financière.

Rédaction de Francfort, version française Wilfrid Exbrayat