TOKYO, 15 janvier (Reuters) - La demande de remise en liberté de Carlos Ghosn a été rejetée mardi par le tribunal de district de Tokyo, après son inculpation vendredi dernier pour deux chefs d'accusation supplémentaires au Japon.

L'ancien président de Nissan est détenu depuis le 19 novembre à Tokyo. Il a été inculpé pour abus de confiance aggravé, pour avoir provisoirement fait passer en 2008 dans les comptes du constructeur japonais des pertes sur des investissements personnels, et de minoration de revenus sur la période 2015-2018. (Chang-Ran Kim, Dominique Rodriguez pour le service français, édité par Matthieu Protard)

Valeurs citées dans l'article : Nissan Motor Co Ltd, Renault