"Faire évoluer notre groupe évidemment, accélérer la transformation évidemment. Mais démanteler et vendre Engie par appartements, non !", a-t-elle dit au quotidien.

Interrogée sur ses relations avec le conseil d'administration du groupe, Isabelle Kocher, qu'on dit fragilisée, évoque des rumeurs tout en refusant de commenter l'hypothèse selon laquelle son sort à la tête d'Engie pourrait être évoqué jeudi lors d'un conseil des rémunérations et de la gouvernance.

(Rédaction de Paris)

Valeurs citées dans l'article : ENGIE, Electricité de France