"Le statu quo n'est pas possible, le statu quo fragilise l'ensemble, il faut avancer, progresser et consolider cette alliance", a-t-il déclaré à la presse en marge d'une réunion ministérielle à l'OCDE.

L'arrestation de Carlos Ghosn en novembre au Japon et son éviction de la présidence de Nissan ont pesé sur les relations entre le constructeur japonais et Renault.

"J'ai toute confiance dans les capacités de Jean-Dominique Senard à obtenir des résultats concrets sur le renforcement de cette alliance qui est importante pour le Japon, pour la France et pour l'industrie automobile mondiale", a ajouté Bruno Le Maire.

L'actuel président de Renault, Jean-Dominique Senard, est également président de l'alliance Renault-Nissan, qui comprend également le constructeur japonais Mitsubishi.

(Jean-Michel Bélot)

Valeurs citées dans l'article : Renault, MITSUBISHI MOTORS CORPORATION, Nissan Motor Co Ltd