Airbus a lancé, mercredi, un appel en faveur d'un retour rapide à l'accord de 1979 entre plus de 30 pays, qui a permis pendant des décennies d'assurer un commerce sans droits de douane pour les avions et leurs pièces, jusqu'à la récente montée des tensions commerciales.
Le directeur général, Guillaume Faury, a déclaré qu'il n'y aurait « que des perdants » en cas de conflit tarifaire prolongé, notamment aux États-Unis, où se trouve la plus grande industrie mondiale de fabrication de pièces aéronautiques.