« En ces moments de perpétuelle incertitude économique, neuf des dix décisionnaires mondiaux pensent désormais qu'une meilleure collaboration entre le gouvernement, les entreprises et les autres secteurs est un facteur essentiel pour la reprise de l'économie internationale. »

Les mêmes résultats ont été trouvés lors d'une étude récente faite par PSB, dans le cadre d'une recherche effectuée par Bank of America pour mieux comprendre les clients et la clientèle en générale.

L'étude faite auprès de plus de 2 000 décisionnaires gouvernementaux, des entreprises et des organisations non gouvernementales (ONG) révèle une surprenante nécessité d'une plus grande collaboration si l'économie mondiale doit reprendre au cours des cinq prochaines années.

Les gouvernements et l'entreprise devraient insister sur la valeur d'une meilleure collaboration et d'une plus ample connectivité

De nombreux décisionnaires pensent que les gouvernements devraient insister sur la valeur d'une connectivité plus importante, et les entreprises devraient également montrer la voie par de plus amples exemples encourageants de bonnes pratiques, par des partenariats importants et utiles; ainsi que par le développement de nombreux leaders au sein des organisations ; soulignant et favorisant de plus en plus le facteur « pensée collaborative ».

Les personnes interrogées ont soutenu la connectivité par secteur ainsi que l'avantage économique déjà observable dans le cadre de nombreux travaux, notamment de nombreux partenariats locaux entre secteur public et privé afin d'améliorer les standards de l'éducation brésilienne, ainsi que plusieurs partenariats commerciaux en Asie du Sud, où une des premières entreprises internationales alimentaires s'associe à des fournisseurs locaux et à des ONG internationales, afin d'améliorer le niveau d'efficacité et la durabilité de leur chaîne d'approvisionnement en huile de palme. La reprise économique est également un thème majeur des partenariats, et, en Europe, les Jeux olympiques de Londres de 2012 ont été cités par les interrogés comme étant un parfait exemple de collaboration entre entreprises, gouvernement et ONG, se rassemblant pour faire repartir l'East End de Londres.

L'étude intitulée « Connection Imperative », publiée aujourd'hui, indique que ce type de connectivité international semble devoir croître, si l'on en croit les plus de 40 % d'interrogés, exprimant un plus important désir de collaboration au cours des cinq prochaines années.

Commentant sur les résultats de l'étude, Brian Moynihan, directeur général de Bank of America, déclare : « Les leaders du monde entier admettent la valeur et le besoin d'une plus ample collaboration internationale. Alors que l'économie et les marchés progressent, l'une des pierres de touche des décisions que nous prenons doit être d'admettre qu'exploiter la puissance des associations est une force pour le plus grand bien de tous, entraînant des percées scientifiques, des résultats économiques remarquables ainsi que des progrès sociaux. »

L'etude, ayant été effectuée dans 12 pays, notamment le Brésil, la Chine, la France, l'Allemagne, l'Inde, l'Italie, le Japon, le Mexique, la Russie, l'Afrique du Sud, le R.U. et les États-Unis, au cours du mois dernier, révèle également que la diversité tient un rôle primordial dans la reprise économique ; et ceci en termes de besoins d'idées inédites, de nouvelles façons de travailler, de personnels provenant de différents horizons et d'une plus grande expérience d'autres secteurs.

Une plus importante représentation de la femme aux postes clés sera un facteur influent

Presque 90 % des décisionnaires interrogés pensent que l'économie internationale doit produire une génération plus diversifiée de leaders commerciaux afin d'instiller une plus ample collaboration, et presque 70 % déclarent qu'une plus importante représentation de la femme à des postes clés entraînera une plus ample collaboration entre organisations ultérieurement.

La directrice du marketing et de la stratégie internationale de Bank of America, Anne M. Finucane, déclare : « Le monde a besoin de produire une génération plus diversifiée de leaders commerciaux pour instiller une plus ample collaboration internationale. Si la récente crise économique internationale nous a appris quelque chose, c'est que le monde peut être un endroit où il fait meilleur vivre lorsque nous collaborons pour faire face aux défis que présente notre planète connectée. »

L'optimisme envers la reprise de la croissance internationale refera son apparition, si la puissance de la connectivité est exploitée efficacement

Si l'on envisage l'avenir, l'étude a également révélé que huit des dix personnes influentes, pensent que l'optimisme commencera à poindre vis-à-vis de la reprise de la croissance internationale si la puissance de la connectivité est exploitée efficacement.

Pour découvrir toute l'étude, veuillez vous rendre sur le site : www.bankofamerica.com ou http://about.bankofamerica.com/en-us/partnering-locally/world-economic-forum-2013.html.

L'étude « Connection Imperative » pour WEF 2013 - Objectifs et méthodologie

PSB a effectué un sondage auprès de 2 112 décisionnaires internationaux, provenant du monde des affaires, du gouvernement et des ONG au sein de douze marchés (Allemagne, France, Italie, Russie, R.U., Brésil, Mexique, États-Unis, Chine, Inde, Japon et Afrique du Sud), pour le compte de Bank of America (BAC). Les personnes interrogées se prévalent d'une éducation universitaire, des plus gros revenus à 10 chiffres et d'être des autorités en matière de décisions ou de politiques au sein de leur société (comptant plus de 100 employés).

L'objectif était de mieux comprendre :

  • Leur évaluation de la situation économique actuelle ; 
  • Le moment et le lieu de la reprise attendue ; 
  • Les obstacles connus face à la croissance ;
  • Si l'établissement d'associations et de la collaboration entre entreprises peut les aider en termes de croissance ultérieure ;
  • Qui entraine et qui devrait entrainer ces relations et encourager la collaboration.

A titre de comparaison, l'échantillon pris dans chaque marché a été évalué afin de :

  • Représenter 1/12ème de la totalité mondiale ; 
  • Garantir que 75 % travaillent dans le secteur privé.
  • La marge d'erreur est de +/- 2,1 % et est plus importante pour les sous-groupes. Les tableaux n'arrivent pas toujours à 100 %, en raison de la tentative d'arrondir ou parce que la question est à plusieurs facettes.

Bank of America

L'une des plus importantes institutions financières internationales, Bank of America offre aux particuliers, aux petites et moyennes entreprises, ainsi qu'aux grandes sociétés une gamme complète de produits et services bancaires, d'investissement et de gestion d'actifs, ainsi que d'autres produits et services de gestion financière et des risques. La société procure un avantage inégalé aux États-Unis, desservant près de 53 millions de particuliers et de petites entreprises, grâce à environ 5 500 agences bancaires de détail et environ 16 300 distributeurs automatiques de billets, ainsi qu'une banque en ligne primée servant 30 millions d'utilisateurs actifs. L'une des plus importantes sociétés de gestion de patrimoine, Bank of America est un chef de file mondial des services bancaires aux entreprises et des services d'investissement et des échanges commerciaux couvrant un large éventail de classes d'actifs et s'adressant aux entreprises, gouvernements, institutions et particuliers dans le monde entier. Bank of America offre à environ 3 millions de gérants de petites entreprises une assistance de premier ordre dans le secteur grâce à une gamme de produits et services en ligne innovants et faciles à utiliser. La compagnie dessert sa clientèle via des opérations déployées dans plus de 40 pays. Les actions de Bank of America Corporation (NYSE :  BAC), une composante du Dow Jones Industrial Average, sont cotées sur le New York Stock Exchange.

Bank of America Merrill Lynch est le nom commercial des activités bancaires et boursières à l'échelle mondiale de Bank of America Corporation. Les activités liées aux prêts et aux instruments dérivés et les autres activités bancaires commerciales sont exercées à l'échelle mondiale par les banques membres du groupe de Bank of America Corporation, y compris Bank of America, N.A., membre de la FDIC. Valeurs mobilières, conseil stratégique et autres activités bancaires d'investissement sont effectuées à l'échelle mondiale par des filiales de Bank of America Corporation (« Investment Banking Affiliates »), y compris, aux États-Unis, par Merrill Lynch, Pierce, Fenner & Smith Incorporated, qui est un courtier inscrit et membre de FINRA et SIPC, et, dans d'autres juridictions, par des entités inscrites localement. Les produits d'investissement offerts par les banques d'investissement affiliées :  Ne sont pas assurés par la FDIC * Peuvent perdre de la valeur * Ne sont pas garantis par une banque.

Pour d'autres actualités sur Bank of America, veuillez consulter la salle de presse à l'adresse : http://newsroom.bankofamerica.com.

www.bankofamerica.com

Le texte du communiqué issu d'une traduction ne doit d'aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d'origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Contact avec la presse :
Pour l' EMOA:
John McIvor, Bank of America, +44.020.7995.8347
john.mcivor@baml.com
Victoria Garrod, Bank of America, +44.77.3801.1500
victoria.garrod@baml.com
Pour l'Asie-Pacifique :
Mark Tsang, Bank of America, +852.2536.3366
mark.tsang@baml.com
Pour les États-Unis :
Scott Silvestri, Bank of America, +1.980.388.9921
scott.silvestri@bankofamerica.com