Dans ce scénario, la plupart des banques seraient encore rentables, ne serait-ce que marginalement, en supposant que les provisions soient réparties uniformément sur les quatre prochains trimestres.
En général, les grandes banques semblent mieux placées que les petites banques et les banques régionales pour faire face à des tensions supplémentaires, grâce à un provisionnement plus prudent au cours du premier semestre et à une meilleure rentabilité avant prise en compte des provisions.