Comparaison des résultats financiers et mesures clés, selon les IFRS, pour l'exercice 2011 et des montants de ce même exercice qui ont déjà été établis aux termes des principes comptables généralement reconnus canadiens

- Revenu net de 3 114 millions de dollars, contre 3 266 millions de dollars

- Revenu net rajusté(1) de 3 275 millions de dollars, contre 3 281 millions de dollars

- RPA dilué de 4,84 $, contre 5,26 $

- RPA dilué rajusté(1) de 5,10 $, contre 5,29 $

- RCP de 15,1 %, contre 15,3 %

- RCP rajusté(1) de 16,0 %, contre 15,3 %

TORONTO, ONTARIO--(Marketwire - 30 jan. 2012) - BMO Groupe financier (TSX:BMO)(NYSE:BMO) a présenté aujourd'hui ses résultats financiers pour l'exercice 2011, résultats qui ont été retraités afin d'être conformes aux Normes internationales d'information financière (IFRS). Aucun des montants retraités n'a été audité et ils sont tous en dollars canadiens.

BMO a adopté les IFRS en date du 1er novembre 2011 et présentera ses états financiers préparés selon ces normes dans le cadre de la publication de ses résultats du premier trimestre, soit le 28 février 2012.

Le présent communiqué de presse résume les conséquences de l'adoption des IFRS sur les résultats de 2011 et reflète les choix faits en vue de la première application des IFRS ainsi que les méthodes comptables sélectionnées en vertu de ces normes. Les lecteurs sont invités à se reporter également à la section qui renferme des informations sur les modifications futures de conventions comptables selon les IFRS figurant aux pages 73 à 77 du Rapport annuel 2011 de BMO et qui peut être consultée à l'adresse http://www.bmo.com/accueil/a-propos-de-bmo/services-bancaires/relations-avec-les-investisseurs/accueil. Des données financières complémentaires retraitées sont également disponibles et fournissent plus de détails sur les résultats financiers trimestriels de 2011, après retraitement conformément aux IFRS. Ces données se trouvent à l'adresse http://www.bmo.com/accueil/a-propos-de-bmo/services-bancaires/relations-avec-les-investisseurs/renseignements-financiers/derniers-resultats.

(1) Les résultats rajustés ne tiennent pas compte de l'incidence de certains éléments. Les résultats et mesures présentés après rajustement ne sont pas conformes aux PCGRC. Veuillez lire la mise en garde concernant l'utilisation et les limites des montants et mesures non conformes aux PCGRC figurant aux pages 94 et 95 du Rapport annuel de BMO lorsque de telles mesures et leurs plus proches équivalents selon les PCGRC sont présentés. Le rapprochement paraissant à la page 2 de ce communiqué de presse indique d'autres éléments de rajustement associés aux résultats établis en vertu des IFRS.

Part des actionnaires sans contrôle dans des filiales

Aux termes des principes comptables généralement reconnus canadiens (PCGRC), le revenu net de BMO a été établi après déduction d'un montant de 73 millions de dollars du revenu attribuable à la part des actionnaires sans contrôle dans des filiales qui figure à l'état consolidé des résultats. En vertu des IFRS, aucun retranchement comparable n'est effectué et le revenu net tient plutôt compte du revenu attribuable aux actionnaires et de celui attribuable à la part des actionnaires sans contrôle dans des filiales. Selon les IFRS, le résultat par action est donc établi au moyen du revenu net moins le résultat attribuable à la part des actionnaires sans contrôle dans des filiales et les dividendes sur les actions privilégiées. De plus, certains instruments convertibles sont, aux termes des IFRS, considérés comme étant dilutifs et sont désormais pris en compte dans le calcul du résultat par action.

INCIDENCE DES IFRS SUR LE REVENU NET ET LES MESURES DE RENDEMENT CLÉS

Selon les résultats conformes aux IFRS, le revenu net rajusté de l'exercice 2011, soit 3 275 millions de dollars, a été de 6 millions de dollars inférieur au revenu net rajusté de 3 281 millions déjà établi conformément aux résultats en vertu des PCGRC. Tel qu'il est expliqué plus en détail ci-dessous, le revenu net de 3 114 millions de dollars aux termes des IFRS a représenté 152 millions de dollars de moins que celui déjà établi et calculé selon les PCGRC. Le résultat par action rajusté de 5,10 $ et le résultat par action de 4,84 $ ont baissé de 0,19 $ et de 0,42 $, respectivement, en regard des montants déjà établis. Le RCP, soit 15,1 %, a baissé de 20 points de base et le RCP rajusté, lequel s'est situé à 16,0 %, a progressé de 70 points de base par suite de la première application des IFRS.

Le tableau suivant résume les différences entre le revenu net selon les PCGRC et celui conforme aux IFRS. Tel qu'il est indiqué ci-dessus, l'adoption des IFRS a comprimé le revenu net de 152 millions de dollars pour l'exercice 2011. Les différences ont inclus une réduction de 85 millions de dollars ayant trait au revenu net provenant des activités de titrisation, ce qui a découlé en partie des gains de titrisation de cartes de crédit constatés en vertu des PCGRC en 2011, une baisse de 69 millions de dollars en lien avec la consolidation d'entités à détenteurs de droits variables par suite essentiellement de changements de valeurs associés à la liquidation d'activités de crédit structuré (notre entité de protection de crédit et nos entités de gestion de placements structurés) ainsi qu'une diminution du revenu net de 62 millions de dollars à l'égard des coûts liés aux acquisitions, coûts qui sont comptabilisés en charges aux termes des IFRS, mais qui sont imputés aux écarts d'acquisition selon les PCGRC. Ces différences ont été compensées en partie par une hausse de 61 millions de dollars du revenu net en rapport avec la comptabilisation de la charge au titre des prestations de retraite et autres avantages sociaux futurs et par l'incidence de 73 millions de dollars découlant de la présentation de la part des actionnaires sans contrôle dans des filiales, tel qu'il est expliqué à la section précédente. Certains de ces éléments sont considérés comme des éléments de rajustement aux fins du calcul du revenu net rajusté, tel qu'il est mentionné ci-dessous.

(en millions de dollars canadiens) T1 T2 T3 T4 Exercice 2011
Revenu net - PCGRC 776 800 793 897 3 266
Exigences en matière de consolidation 9 94 (51 ) (121 ) (69 )
Titrisation (7 ) (46 ) (2 ) (30 ) (85 )
Diminution (augmentation) de la provision générale (4 ) (53 ) 11 12 (34 )
Prestations de retraite et autres avantages sociaux futurs 18 20 3 20 61
Coûts liés à l'acquisition de M&I - - (58 ) (4 ) (62 )
Part des actionnaires sans contrôle dans des filiales 18 18 18 19 73
Autres 15 (20 ) (6 ) (25 ) (36 )
Répercussions de l'adoption des IFRS 49 13 (85 ) (129 ) (152 )
Revenu net - IFRS 825 813 708 768 3 114
Revenu net rajusté déjà établi - non conforme aux PCGRC 784 804 843 850 3 281
Répercussions de l'adoption des IFRS (voir ci-dessus) 49 13 (85 ) (129 ) (152 )
Variation des éléments de rajustement en raison des IFRS
Consolidation d'activités de crédit structuré (20 ) (100 ) 51 119 50
Coûts liés à l'acquisition de M&I - - 58 4 62
Augmentation (diminution) de la provision générale 4 53 (11 ) (12 ) 34
Revenu net rajusté selon les IFRS 817 770 856 832 3 275

La direction évalue les résultats établis et les résultats rajustés et considère que ces deux bases sont utiles aux fins de l'appréciation de la performance sous-jacente. Le fait de présenter ces deux types de résultats donne aux lecteurs une meilleure compréhension de la façon dont la direction en fait l'analyse. Les résultats rajustés ne sont pas conformes aux PCGR. Les résultats rajustés provenant de résultats établis selon les PCRGC sont décrits plus longuement à la page 95 du Rapport de gestion annuel.

Le revenu net rajusté a dépassé de 161 millions de dollars le revenu net établi selon les IFRS en raison de l'incidence nette d'une hausse de 15 millions de dollars liée aux éléments de rajustement décrits sous la rubrique Mesures non conformes aux PCGR, à la page 95, du Rapport de gestion annuel, d'une augmentation de 50 millions de dollars attribuable aux changements de valeurs associés à la liquidation d'activités de crédit structuré, tel qu'il est indiqué ci-dessus, d'une hausse de 62 millions de dollars en raison des coûts liés à l'acquisition de Marshall and Ilsley Corporation et d'une hausse de 34 millions de dollars imputable aux montants plus élevés de dotations à la provision générale en raison de la progression des soldes d'actifs.

Consolidation

Les différences relatives aux exigences en matière de consolidation en vertu des IFRS ont essentiellement trait aux entités définies comme des entités à détenteurs de droits variables (EDDV) en vertu des PCGRC (entités ad hoc aux termes des IFRS). Conformément aux IFRS, nous devons désormais consolider nos entités de crédit structuré, notre entité de titrisation américaine des clients, la Fiducie de capital BMO II et la Fiducie de billets secondaires BMO. La consolidation de ces entités ad hoc a accru de 4,2 milliards de dollars le total de l'actif au 1er novembre 2010.

Aux fins de la communication de l'information financière du premier trimestre de l'exercice 2011, certaines activités de crédit structuré ont été transférées des Services d'entreprise à BMO Marchés des capitaux puisqu'elles sont en voie d'être liquidées et ne reflètent pas les activités de base du premier secteur. Toute incidence sur le résultat a été désignée comme un élément de rajustement aux fins du calcul des résultats rajustés.

Le rajustement d'ouverture au 1er novembre 2010 en raison de la consolidation des entités indiquées ci-dessus a donné lieu à une réduction de 137 millions de dollars des bénéfices non répartis. La réduction de 69 millions de dollars du revenu net de 2011 en vertu des IFRS a résulté essentiellement de changements de valeurs d'activités de crédit structuré en voie de liquidation.

Comme nous l'avons déjà mentionné, nous nous attendons à ce que la consolidation de nos activités de crédit structuré en voie de liquidation cause une certaine variabilité du revenu net trimestriel, mais celle-ci devrait diminuer au fil du temps, soit à mesure que les actifs arriveront à échéance. BMO est d'avis que la protection de premier niveau que procurent les billets de capital subordonnés des entités de gestion de placements structurés et les couvertures existantes des positions à risque de l'entité de protection de crédit surpassera les pertes réalisées futures qui sont prévues, et c'est pourquoi tout gain ou perte imputé aux résultats en raison de variations des valeurs de marché devrait s'annuler avec le temps. La structure de notre exposition au risque économique n'a pas changé.

Titrisation

En vertu des PCGRC, nous comptabilisons les cessions de prêts aux programmes de titrisation comme des ventes lorsque nous abandonnons le contrôle effectif sur les prêts et qu'une contrepartie, autre que des billets émis par l'entité de titrisation, est reçue. En vertu des IFRS, les actifs financiers ne sont décomptabilisés que lorsque la quasi-totalité des risques et des avantages sont transférés au sens des critères de décomptabilisation. Des gains importants sur les opérations de titrisation de cartes de crédit ont été comptabilisés en vertu des PCGRC dans l'exercice 2011.

Aux termes des IFRS, les actifs titrisés, incluant les prêts sur cartes de crédit et les prêts hypothécaires à l'habitation vendus par voie de programmes de titrisation, demeureront désormais inscrits au bilan. Ainsi, le total de l'actif du secteur des Services d'entreprise a augmenté d'environ 22 milliards de dollars au 1er novembre 2010. La réduction de 85 millions de dollars du revenu net est imputable au changement du mode de comptabilisation des opérations de titrisation est également prise en compte dans les résultats de ce secteur.

Variation de la provision générale

La provision générale pour pertes sur créances s'est accrue de 48 millions de dollars (34 millions de dollars après impôts) en raison surtout des montants plus élevés des prêts qui sont désormais inscrits au bilan, ce qui inclut 35 millions de dollars (25 millions de dollars après impôts) relativement aux actifs titrisés.

Prestations de retraite et autres avantages sociaux futurs

Les gains et pertes actuariels correspondent aux gains et pertes liés au marché sur les actifs des caisses de retraite ainsi qu'à l'incidence des variations des taux d'actualisation et des autres hypothèses ou de l'écart entre le rendement des régimes et les attentes de la direction quant aux obligations au titre des prestations de retraite.

En vertu des IFRS, nous avons choisi de comptabiliser le cumul total des gains et pertes actuariels de tous nos régimes d'avantages sociaux au 1er novembre 2010 dans le solde d'ouverture des bénéfices non répartis, ce qui a réduit ce solde de 1,2 milliard de dollars et accru le revenu net de l'exercice 2011 de 61 millions de dollars.

Acquisitions

En vertu des PCGRC, les coûts liés aux acquisitions sont inscrits à l'actif et classés dans les écarts d'acquisition. Les IFRS exigent que tous ces coûts soient comptabilisés en charges. Par conséquent, les frais ont augmenté de 62 millions de dollars après impôts en raison de l'inclusion d'autres coûts liés à l'acquisition de M&I. Cette hausse a été désignée comme un élément de rajustement et n'a donc eu aucune incidence sur le revenu net rajusté aux termes des IFRS. Même si ce changement a réduit l'écart d'acquisition découlant de l'acquisition de M&I, le total de l'écart d'acquisition constaté pour cette opération a augmenté en raison d'une différence dans la valeur des actions ayant servi à comptabiliser cette acquisition aux termes des IFRS.

Résultats sectoriels

Les différences entre les résultats selon les IFRS et ceux conformes aux PCGRC ont essentiellement trait aux montants pris en compte dans les résultats des Services d'entreprise, et un montant moins élevé est inclus dans ceux de PE Canada. Les résultats des groupes d'exploitation ont également été retraités en raison de certains transferts d'activités commerciales entre eux, conformément à nos pratiques courantes.

INCIDENCE DES IFRS SUR LE CAPITAL RÉGLEMENTAIRE

L'incidence, sur le capital, des changements associés à l'adoption des IFRS est calculée en accord avec notre analyse figurant sous la rubrique Passage aux Normes internationales d'information financière de la section Modifications futures de conventions comptables - IFRS, aux pages 73 à 77 du Rapport de gestion de BMO pour 2011.

Le passage aux IFRS réduira en bout de ligne le capital de première catégorie de BMO selon Bâle II d'environ 60 points de base et augmente le ratio de l'actif au capital de 1,45 fois. Conformément aux dispositions transitoires du BSIF, BMO a choisi d'intégrer progressivement, soit sur une période de cinq trimestres, les répercussions de l'adoption de ces normes.

Au 31 octobre 2011, le ratio des capitaux propres ordinaires pro forma de BMO selon Bâle III serait de 6,9 %, compte tenu de toutes les répercussions de la première application des IFRS.

MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES

Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent document contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans des documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation des valeurs mobilières ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis ou dans d'autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d'exonération de la loi américaine Private Securities Litigation Reform Act of 1995 et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables, et elles sont conçues comme des déclarations prospectives aux termes de ces lois. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs et nos priorités pour l'exercice 2012 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.

De par leur nature, les déclarations prospectives exigent la formulation d'hypothèses et comportent des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions, pronostics, conclusions ou projections se révèlent inexacts, que nos hypothèses soient erronées et que les résultats réels diffèrent sensiblement de ces prévisions, pronostics, conclusions ou projections. Nous conseillons aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels, les conditions, les actions ou les événements futurs pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d'un certain nombre de facteurs.

Les résultats futurs ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment la situation économique générale et la conjoncture des marchés dans les pays où nous sommes présents, des marchés financiers ou du crédit faibles, volatils ou illiquides, les fluctuations des taux d'intérêt et de change, les changements de politique monétaire, fiscale ou économique, l'intensité de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d'activité dans lesquels nous œuvrons, les changements de législation ou les changements dans les attentes ou les exigences des organismes de supervision, y compris les exigences ou directives en matière de capital, de taux d'intérêt et de liquidités, les procédures judiciaires ou démarches réglementaires, l'exactitude ou l'exhaustivité de l'information que nous obtenons sur nos clients et nos contreparties, notre capacité de mettre en œuvre nos plans stratégiques, de conclure des acquisitions et d'intégrer les entreprises acquises, les estimations comptables critiques et l'incidence des modifications des normes comptables, des règlements et des interprétations sur ces estimations, les risques opérationnels et infrastructurels, les modifications de nos cotes de solvabilité, la situation politique générale, les activités des marchés financiers internationaux, les répercussions de guerres ou d'activités terroristes sur nos activités, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, les catastrophes naturelles et les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d'alimentation en énergie ou en eau, les changements technologiques et notre capacité à prévoir et à gérer efficacement les risques liés aux facteurs susmentionnés.

Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n'est pas exhaustive. D'autres facteurs pourraient influer défavorablement sur nos résultats. Il y a lieu de se reporter aux pages 30 et 31 du Rapport de gestion de BMO de 2011, lesquelles donnent plus d'information sur l'incidence que pourraient avoir certains facteurs clés sur les résultats futurs de la Banque de Montréal. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l'égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d'autres incertitudes et événements potentiels, et de l'incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s'engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l'occasion, par elle-même ou en son nom, sauf si la loi l'exige. L'information prospective contenue dans le présent document est présentée dans le but d'aider nos actionnaires à comprendre notre situation financière aux dates indiquées ou pour les périodes closes à ces dates ainsi que nos priorités et objectifs stratégiques, et peut ne pas convenir à d'autres fins.

Aux fins du calcul de l'incidence pro forma de Bâle III sur notre capital réglementaire et nos ratios de capital réglementaire, nous avons présumé que notre interprétation des règles proposées annoncées par le Comité de Bâle sur le contrôle bancaire (CBCB) en date des présentes et que les modèles que nous utilisons pour évaluer ces exigences concordaient avec les exigences définitives qui seront promulguées par le CBCB et le Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF). Nous avons également présumé que les changements proposés à l'égard des déductions du capital, des actifs pondérés en fonction des risques, du traitement du capital réglementaire pour les instruments de capital-actions autres que des actions ordinaires (à savoir les instruments de capital faisant l'objet d'une clause de droits acquis) et des ratios de capital réglementaire minimums étaient adoptés dans leur version proposée par le CBCB et le BSIF. De plus, nous avons présumé que les instruments de capital existants qui ne respectent pas Bâle III mais respectent Bâle II pourraient être entièrement pris en compte dans ces estimations. L'incidence intégrale des propositions de Bâle III a été quantifiée d'après nos positions financières et nos positions en matière de risque au 31 octobre ou à une date la plus rapprochée que possible du 31 octobre. L'incidence du passage aux IFRS est fondée sur notre analyse, laquelle est décrite à la section Passage aux Normes internationales d'information financière - IFRS de notre Rapport de gestion de 2011. Aux fins de la présentation de notre prévision selon laquelle nous serons en mesure de refinancer certains de nos instruments de capital dans l'avenir lorsque nécessaire pour respecter les exigences en matière de capital réglementaire, nous avons présumé que les facteurs échappant à notre contrôle, y compris l'état de la conjoncture économique et de la conjoncture des marchés financiers, n'entravera pas notre capacité de le faire.

Les hypothèses relatives aux ventes d'actifs, aux prix de vente prévus pour les actifs, au coût net de mobilisation des fonds, à la qualité du crédit et au risque de défaillance et de pertes sur défaillance des actifs sous-jacents de certaines entités de gestion de placements structurés sont des facteurs importants dont nous avons tenu compte lors de l'établissement de nos attentes concernant les entités de gestion de placements structurés dont il est question dans le présent document, y compris la perspective que la protection de premier niveau fournie par les billets de capital subordonnés dépasse les pertes futures. Selon certaines de nos principales hypothèses, des actifs continueront à être vendus dans le but de réduire la taille des entités de gestion de placements structurés, selon diverses hypothèses de prix d'actifs, et le niveau des défauts et des pertes sera conforme à la qualité du crédit des actifs sous-jacents et à nos attentes actuelles concernant la persistance des difficultés sur les marchés. Afin d'établir le montant des actifs arrivant à échéance chaque exercice, nous avons posé des hypothèses pour déterminer si les émetteurs choisiront ou non de rembourser leurs titres de créance subordonnés avant la date d'échéance, lorsqu'ils en ont la possibilité.

Les hypothèses relatives au niveau de défauts et aux pertes en cas de défaut sont des facteurs importants dont nous avons tenu compte lors de l'établissement de nos attentes concernant les résultats futurs des transactions qu'Apex Trust a conclues. Selon certaines de nos principales hypothèses, le niveau des défauts et les pertes en cas de défaut seront comparables à ceux de l'expérience historique. En établissant nos attentes concernant le risque de pertes sur créances lié à Apex Trust et le risque de perte par BMO dans l'avenir, nous avons tenu compte de facteurs importants dont la diversification sectorielle dans les portefeuilles, la qualité initiale du crédit de chaque portefeuille, la protection de premier niveau intégrée à la structure et les couvertures que BMO a conclues.

À propos de Groupe financier BMO

Fondé en 1817 sous le nom de Banque de Montréal, BMO Groupe financier est une société nord-américaine de services financiers hautement diversifiés. Fort d'un actif de 501 milliards de dollars, en vertu des IFRS, au 31 octobre 2011 et d'un effectif de plus de 47 000 employés, BMO Groupe financier offre une vaste gamme de produits et de solutions dans les domaines des services bancaires de détail, de la gestion de patrimoine et des services d'investissement.

Relations avec les médias
Ralph Marranca, Toronto
(416) 867-3996
ralph.marranca@bmo.com

Ronald Monet, Montréal
(514) 877-1873
ronald.monet@bmo.com

Relations avec les investisseurs
Viki Lazaris, Toronto
(416) 867-6656
viki.lazaris@bmo.com

Michael Chase, Toronto
(416) 867-5452
michael.chase@bmo.com

Andrew Chin, Toronto
(416) 867-7019
andrew.chin@bmo.com

distribué par

Ce noodl a été diffusé par BMO - Bank of Montreal et initialement mise en ligne sur le site http://www.bmo.com. La version originale est disponible ici.

Ce noodl a été distribué par noodls dans son format d'origine et sans modification sur 2012-02-01 00:47:04 AM et restera accessible depuis ce lien permanent.

Cette annonce est protégée par les règles du droit d'auteur et toute autre loi applicable, et son propriétaire est seul responsable de sa véracité et de son originalité.