Natixis AM explique que les marchés actions restent sous pression du "risque chinois", notamment aux Etats-Unis, où les valorisations restent fragiles "prises en tenaille entre la Fed et des marges à bout de souffle".
Par ailleurs, le gestionnaire estime que les marchés ne doivent pas attendre de nouveau soutien de la part des banques centrales du G7 : ces dernières sont déjà au plancher, de la part de la Banque d'Angleterre et de la BCE, ou à "un point d'inflexion dangereux", dans le cas de la Fed américaine.
Enfin, "la disparition du recyclage des pétrodollars et la liquidation de réserves de change par les banques centrales émergentes limitent la capacité des taux longs à amortir le risque de volatilité sur les actions", précise Raphaël Gallardo, Stratégiste - Investissement et Solutions Clients chez Natixis AM.