Capgemini a rapidement répondu à Elliott, qui a répété ce matin ses griefs vis-à-vis de l’offre de rachat d’Altran : prix jugé insuffisant et processus « ponctué d'une série de défaillances en matière de gouvernance d'entreprise ». Le groupe de services informatiques et de conseil juge que le courrier diffusé par le fonds activiste aux actionnaires d’Altran « comporte de très nombreuses inexactitudes », sans donner plus de précision.

Il considère que son " offre est équitable et reflète pleinement la valeur d'Altran ". Capgemini rappelle qu'elle est ouverte jusqu'au 22 janvier et prévient que si à cette date il ne détient pas 50% du capital, elle sera caduque.

Avant d'enfoncer le clou : " Il n'y a aujourd'hui aucune autre offre sur la table pour les actionnaires d'Altran "