GSR soutient la proposition d'établir un réseau de réserves marines d'au moins 30% des océans. C'est déjà le cas dans la région où GSR mène des recherches. Depuis 2012, l'Autorité Internationale des Fonds Marins (AIFM) a réservé une superficie de 1,44 million de kilomètres carrés comme réserve marine. Cela s'approche des 35 % de la zone Clarion Clipperton où sont trouvés les nodules polymétalliques.

En 2018, GSR a été la première entreprise à publier son étude d'impact environnemental pour un test scientifique. [1] Dans le souci d'un contrôle indépendant de notre test, GSR s'est également associé au projet indépendant JPIO, un consortium de scientifiques de neuf pays européens.[2] De cette manière, GSR impose les standards de l'industrie. Un moratoire sur l'exploitation minière en eaux profondes conduit à un arrêt de la recherche scientifique en eaux profondes. En intensifiant la recherche, nous apprenons ce que nous devons protéger.

La législation relative à l'extraction des nodules comporte des exigences élevées en matière de protection de l'environnement. Par conséquent, aucune extraction ne peut avoir lieu sans une étude d'impact environnemental présentant les différents risques et opportunités. Le principe de précaution est également prévu dans le cadre législatif et se traduit par une approche progressive de GSR.

GSR croit en une exploitation responsable des nodules polymétalliques pour la simple raison que ces nodules sont multi-métalliques, réduisant ainsi les émissions de CO2 par kilogrammes de métal extrait. Les nodules contiennent en effet quatre métaux: le nickel, le cuivre, le cobalt et le manganèse. Ce sont précisément les métaux dont nous avons besoin pour lutter contre le changement climatique. Le reste des nodules est constitué de sable. Ces quatre métaux n'apparaissent jamais combinés dans les gisements terrestres, ce qui conduit à la nécessité d'exploiter trois mines différentes.

Selon le rapport du GIEC, d'ici 2075, 70 à 85% de notre approvisionnement en énergie doit provenir d'énergies renouvelables pour atteindre l'objectif de 2,0 °C.[3] Pour cela, nous devons multiplier par cinq les investissements dans les énergies renouvelables et le stockage. Un objectif très ambitieux, impossible à atteindre sur la seule base du recyclage, car les métaux sont piégés dans l'infrastructure entre 10-30 ans avant de pouvoir être recyclés.

[1]https://www.deme-group.com/gsr/news/gsr-publishes-its-prior-environmental-impact-statement-relating-2019-patania-ii-disturbance

[2]https://miningimpact.geomar.de/miningimpact-2

[3]https://www.ipcc.ch/sr15/

À propos de DEME

Le groupe belge de dragage et de génie maritime et environnemental DEME est un leader international du marché des infrastructures de génie maritime complexes.

Fort de plus de 140 ans d'expérience et de savoir-faire, DEME s'est diversifié dans plusieurs disciplines connexes, telles que le financement de projets de génie maritime et environnemental, prenant en charge l'exécution de projets EPC d'infrastructures maritimes complexes incluant des travaux de génie civil, le développement et la construction de projets en énergies renouvelables, les services aux entreprises pétrolières, gazières et énergétiques, l'assainissement et le recyclage des sols et sédiments, l'exploitation de ressources maritimes, etc.

Grâce à sa structure d'entreprise intégrée, DEME est devenu un fournisseur de « solutions d'envergure mondiale » offrant à ses clients des solutions complètes. Le groupe est propriétaire d'une flotte de navires parmi les plus modernes, les plus sophistiqués et les plus polyvalents du secteur.

DEME emploie 5200 personnes dans le monde. En 2018, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 2,65 milliards d'euros.

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