L'opération, annoncée plus tôt par l'agence grecque des privatisations HRADF, était attendue.

La Grèce, qui n'a reçu aucune offre pour sa part de 5%, avait invité l'opérateur allemand à exercer son droit de préemption pour acheter les titres.

(Douglas Busvine; Catherine Mallebay-Vacqueur pour le service français)