Equinor indique que les statistiques de sécurité du 2e trimestre témoignent de la stabilité du nombre d'incidents graves mais aussi d'une hausse du nombre de blessures corporelles. Une fuite d'hydrocarbures est aussi à déplorer, indique la société.

Concrètement, le SIF, soit la fréquence moyenne des incidents graves sur douze mois (nombre d'incidents graves par million d'heures travaillées), est de 0,5 à fin juin, soit le même niveau que fin 2020.
Neuf incidents graves ont été enregistrés au deuxième trimestre de cette année, contre 12 incidents graves à la même période en 2020.

Le TRIF, soit la fréquence totale moyenne des incidents sur douze mois, (nombre d'accidents corporels avec traitement médical par million d'heures travaillées) est de 2,5, contre 2,3 fin 2020.
Au total, 90 accidents ont été enregistrés au deuxième trimestre, par rapport à à 53 blessés au deuxième trimestre 2020.

Quatre fuites d'hydrocarbures (fuites de pétrole et de gaz avec un taux de fuite supérieur à 0,1kg/seconde) ont été enregistrées jusqu'à présent cette année, dont une fuite de gaz au 2e trimestre.

Jannicke Nilsson, vice-président exécutif pour la sûreté, la sécurité et la durabilité (SSU), assure prendre ces statistiques très au sérieux. 'Nous continuons à nous concentrer sur les accidents majeurs tout en travaillant à réduire le nombre de blessures corporelles ', explique-t-il.

Copyright (c) 2021 CercleFinance.com. Tous droits réservés.