Ventes d'organes, appel à la violence contre des minorités ethniques, recrutement d'esclaves ou de tueurs à gages… Dans les pays en développement, Facebook sert de plateforme de recrutement et de formation pour les cartels de drogue et les trafiquants d’être humains. Alors que les employés du réseau social tirent régulièrement la sonnette d’alarme sur ce qu’ils observent, Facebook laisserait les pages des cartels et des esclavagistes exister paisiblement sur sa plateforme. 

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