Les programmes de rachat d’actions ont explosé en cette première moitié d’année aux Etats-Unis, après un déclin l’année dernière. En effet, sur les six premiers mois de l'année 2021, le montant des programmes de rachat d’actions autorisés pour les entreprises du S&P 500, atteint 567 milliards de dollars, un record.
Une des raisons de ce rebond est le report des programmes de 2020. Les sociétés ont privilégié la solidité de leur bilan durant la crise. D’après Goldman Sachs, ce sont quelque 20% des entreprises de l’indice qui ont suspendu leur programme, sans compter celles qui n’ont pas fait d’annonce publique, estimées aussi à 20%.
Les excédents de liquidités, combinés aux bonnes perspectives économiques, ont fait s'envoler les rachats d'actions en 2021. Les analystes de Goldman Sachs prévoient encore une augmentation de 5% en 2022. Ces actions ont généralement vocation à être annulées après le rachat, ce qui réduit le nombre de titres en circulation et par conséquent augmente la valeur des actions restantes. Le soutien des entreprises envers leurs propres titres alimente encore plus un marché qui ne cesse d’évoluer à la hausse. Hier soir, plusieurs banques américaines ont d’ailleurs annoncé la reprise de leurs programmes de rachats.
Goldman Sachs BDC, Inc. est une société financière spécialisée dans les prêts aux entreprises du marché intermédiaire. La société cherche à générer des revenus courants et, dans une moindre mesure, une plus-value en capital, principalement par le biais de prêts garantis, y compris des prêts de premier rang, des prêts unitranches de premier rang et de second rang, et des prêts non garantis, y compris des prêts mezzanine, ainsi que par le biais d'investissements en actions sélectionnés. Elle peut également octroyer des prêts assortis de clauses restrictives (covenant-lite), c'est-à-dire des prêts assortis de clauses de maintien financier moins nombreuses que pour d'autres obligations, voire de clauses de maintien financier inexistantes. Outre les investissements dans les entreprises américaines du marché intermédiaire, elle peut investir une partie de son capital dans des investissements opportunistes, tels que dans de grandes entreprises américaines, des entreprises étrangères, des dettes en difficulté, des produits structurés ou des fonds de capital-investissement. Il investit dans divers secteurs, notamment l'automobile, la chimie et les services financiers. Son conseiller en investissement est Goldman Sachs Asset Management, L.P.