Hyundai a déclaré jeudi que le veto des régulateurs antitrust de l'UE à son projet d'acquisition du constructeur naval rival Daewoo était déraisonnable et décevant et qu'elle prendrait d'autres mesures possibles, notamment une action en justice.

Hyundai a déclaré qu'il existe d'autres concurrents crédibles en Corée du Sud, en Chine, au Japon et en Russie, et que l'accent mis par la Commission européenne sur les parts de marché n'est peut-être pas un bon indicateur du pouvoir de marché dans le secteur de la construction navale.