Premier semestre 2017

Un semestre sans relief apparent
***
Chiffre d'affaires : 833,8 millions d'euros
Croissance organique + 0,1 %
Nouveaux Services + 18 %

Résultat net ajusté + 9,0 %

Paris, 26 juillet 2017 - Le chiffre d'affaires d'Ipsos au premier semestre 2017 est de 833,8 millions d'euros, très proche du niveau des 833,6 millions d'euros publié au titre du premier semestre 2016. Les effets de change, légèrement positifs pour 0,5 % et de périmètre négatifs pour 0,6 % s'annulent à peu près. La croissance organique d'Ipsos, pour la période de référence, est de 0,1 %. Toutes ces données sont illustratives d'une activité stable, sans tendance claire.

Cela étant, des évolutions importantes sont à l'oeuvre et peuvent s'analyser de quatre angles de vue différents.

  1. La composante « Nouveaux Services », ces activités nouvelles qu'Ipsos a déployées à partir de 2014 et qui reflètent les approches innovantes mises en oeuvre pour mesurer mieux, plus vite et ainsi aider les clients à comprendre davantage leurs marchés continuent de progresser à un rythme élevé. Avec une croissance organique de 18 %, ils représentent ce semestre plus de 12 % du chiffre d'affaires, contre 7 % en 2014. Par comparaison, les approches plus traditionnelles subissent les conséquences d'efforts de productivité, liées entre autres à la poursuite de la transition vers une plus grande digitalisation des systèmes de collecte de données et aussi à la recherche d'une simplification accrue des protocoles de recherche.
     
  2. Certains marchés émergents, notamment en Asie-Pacifique et en Europe de l'Est, sont très contributifs de croissance à l'inverse d'autres zones plus difficiles, comme le Moyen-Orient ou le Brésil. De la même façon, au sein des marchés développés, certains pays comme le Royaume-Uni maintiennent un taux de croissance élevé alors que d'autres comme la France sont affectés par des événements spécifiques. L'activité à Paris n'a pas été bonne au premier semestre, les très longs processus électoraux et les incertitudes qu'ils engendrent rendant peu évidente la réalisation dans la même période d'études sur les produits, les marques, ou les communications commerciales. Au total, l'écart de croissance entre pays développés et pays émergents est redevenu important à 5 %. L'activité diminue de 1,3 % parmi les premiers alors qu'elle progresse de 3,3 % chez les seconds.
     
  3. Certains marchés sont spécialement affectés par le décalage constaté entre le volume des ventes enregistrées à un moment donné et le degré d'avancement dans l'exécution des programmes qui permettent de les comptabiliser dans le chiffre d'affaires effectivement reconnu. La transformation du mix des services vendus par Ipsos, déjà notée à la fin du premier trimestre et qui se traduit par l'accroissement du poids de grands programmes plus longs à exécuter, au détriment d'interventions plus courtes et plus ad-hoc a ses avantages, notamment de faciliter l'optimisation du travail des équipes. Elle a, pour conséquence négative, de retarder le moment où le niveau de chiffre d'affaires s'aligne sur le niveau du carnet de commande. À fin juin, les ventes d'Ipsos restent largement positives, pas très loin de l'objectif

    annuel de 3 %, à taux de change et périmètre constants. Le décalage avec l'évolution du chiffre d'affaires publié (+0,1 %) est notable et équivalent à celui constaté à la fin du premier trimestre. Nous anticipons une progression sensible du chiffre d'affaires d'Ipsos au second semestre, surtout là où le décalage est très important, entre autres en Amérique du Nord et dans les activités liées à la mesure des médias et de la communication publicitaire.
     
  4. La situation de la clientèle évolue elle aussi. Les entreprises intervenant dans le secteur de la grande consommation qui ont, jusqu'à une date récente, été les utilisateurs les plus importants, les plus globaux et, à certains égards, les plus innovants des services des sociétés d'étude de marché, sont questionnées sur leur capacité à croître et, en même temps, à améliorer leurs performances financières. Elles sont affectées par la vive concurrence d'acteurs locaux ou plus spécifiques et bien sûr, mobilisées par leurs propres processus de digitalisation. Dans ces conditions, leur souci légitime est de faire mieux tout en réduisant leurs dépenses. D'un côté, les entreprises de la grande consommation, surtout les plus grandes d'entre-elles, sont d'excellentes candidates à une utilisation systématique des nouvelles approches de recherche développées par Ipsos et d'autres. En même temps, les moyens qu'elles consacrent aux dépenses marketing sont en réduction, parfois de façon sensible. Au total, au premier semestre 2017, l'activité d'Ipsos avec ses clients du secteur de la grande consommation a diminué de 5 %, alors qu'elle a progressé significativement avec d'autres secteurs de clientèle tels que les laboratoires pharmaceutiques ou les institutions financières.

Évolution de l'activité par région et lignes de métier

Contribution au Chiffre d'affaires consolidé par zone géographique
(en millions d'euros)
1er semestre
2017
1er semestre 2016 Évolution 2017/2016 Croissance organique
Europe, Moyen Orient et Afrique 360,4 360,0 0,1 % 3 %
Amériques 318,5 330,4 - 3,6 % - 5 %
Asie-Pacifique 154,9 143,1 8,2 % 6 %
Chiffre d'affaires semestriel 833,8 833,6 0,0 % 0,1 %

Contribution au Chiffre d'affaires consolidé par ligne de métier
(en millions d'euros)
1er semestre 2017 1er semestre 2016 Évolution 2017/2016 Croissance organique
Études Médias et Expression des marques 177,7 182,7 - 2,8 % - 3 %
Études Marketing 444,0 447,8 - 0,9 % - 0,5 %
Études d'Opinion et Recherche sociale 92,5 85,8 7,8 % 9 %
Études pour la gestion de la Relation Client / Salarié 119,7 117,2 2,1 % 1 %
Chiffre d'affaires semestriel 833,8 833,6 0,0 % 0,1 %

Performances financières

Compte de résultat résumé

En millions d'euros S1 2017 S1 2016 Variation
S1 2017 / S1 2016
Chiffre d'affaires 833,8 833,6   0,0 %
Marge brute 544,2 545,0  - 0,1 %
Marge brute / CA 65,3 % 65,4 % -
Marge opérationnelle 50,7 53,8 - 5,7 %
Marge opérationnelle / CA 6,1 % 6,5 % -
Autres charges et produits non courants / récurrents (7,9) 8,7 -
Charge de financement (9,7) (10,2)   - 5,2 %
Impôts (7,9) (12,4) - 36,3 %
Résultat net ajusté*
part du groupe
36,0 33,0 9,0 %
* Le résultat net ajusté est calculé avant les éléments non monétaires liés à l'IFRS 2 (rémunérations en actions), avant l'amortissement des incorporels liés aux acquisitions (relations clients), avant les impôts différés passifs relatifs aux goodwills dont l'amortissement est déductible dans certains pays et avant l'impact net d'impôts des autres produits et charges non courants.


La marge brute (qui se calcule en retranchant du chiffre d'affaires des coûts directs variables et externes liés à l'exécution des contrats) s'établit à 65,3 % contre 65,4 % au premier semestre 2016 (et 65,1 % pour l'ensemble de l'année 2016). Son évolution est à relier au poids des grands contrats qui est plus important sur ce semestre et dont les marges brutes sont souvent plus basses (ce qui ne présage en rien du niveau de marge opérationnelle de ces contrats). La poursuite de la digitalisation de la collecte de données et de la croissance des Nouveaux Services génère à l'inverse des marges brutes plus élevées.

En ce qui concerne les coûts d'exploitation, la masse salariale est en hausse de 0,6 %, les effectifs du groupe étant en progression de 1,5 % principalement dans les pays émergents, soit un personnel permanent de 16 845 au 30 juin 2017.

Le coût des rémunérations variables en action est stable à 5,1 millions d'euros.

Les frais généraux sont maîtrisés et diminuent de 1,9 %, notamment en raison d'économies de coûts de loyers.

Au total, les coûts opérationnels enregistrent des charges supplémentaires en relation avec le programme New Way pour lequel Ipsos a prévu 5 millions d'euros d'investissements supplémentaires courants en
2017 : 2,3 millions d'euros ont été dépensés au premier semestre 2017.

Les autres charges et produits opérationnels incluent principalement des effets de change transactionnels sur les postes du compte d'exploitation, qui sont négatifs de 2 millions d'euros sur le semestre alors qu'ils étaient positifs pour 1,3 millions d'euros au premier semestre 2016.

Au total, la marge opérationnelle du Groupe s'établit à 50,7 millions d'euros, soit un taux de 6,1 % rapporté au chiffre d'affaires, une baisse de 40 points de base par rapport à la même période de l'an dernier, en raison d'un volume de revenus stable et de l'investissement dans le programme New Way. Il est rappelé ici, qu'en raison de la saisonnalité de l'activité, la marge opérationnelle du premier semestre n'est pas indicative de celle de l'ensemble de l'année.

En dessous de la marge opérationnelle, les dotations aux amortissements des incorporels liés aux acquisitions concernent la partie des écarts d'acquisition affectée aux relations clients au cours des 12 mois suivant la date d'acquisition et faisaient l'objet d'un amortissement au compte de résultat selon les normes IFRS sur plusieurs années. Cette dotation s'élève à 2,4 millions d'euros contre 2,5 millions précédemment.

Le solde du poste autres charges et produits non courants et non récurrents s'établit à - 7,9 millions d'euros contre un produit net de 8,7 millions d'euros l'an dernier. Il prend en compte des éléments à caractère inhabituel non liés à l'exploitation et inclut les coûts d'acquisition ainsi que les coûts liés aux plans de restructuration en cours.
Il enregistrait en particulier, au premier semestre 2016, un produit net de 15,4 millions d'euros en relation avec le remboursement reçu d'Aegis en février 2016 pour solde de tout compte des litiges qui étaient nés suite à l'acquisition de Synovate réalisée en 2011. Par ailleurs, des dépenses de restructuration et de rationalisation dont certaines liées au programme New Way ont été constatées pour un total de 6,7 millions d'euros. 

Les charges de financement. La charge d'intérêt nette s'élève à 9,7 millions d'euros contre 10,2 millions d'euros, en baisse de 5,2 % en raison de la baisse de ses conditions de crédit.

Impôts. Le taux effectif d'imposition au compte de résultat en norme IFRS s'établit à 26,8 % contre 25,6 % l'an dernier. Il intègre, comme par le passé, une charge d'impôts différés passifs de 1,3 millions d'euros (contre une charge de 2,1 millions au premier semestre 2016) qui vient annuler l'économie d'impôts réalisée grâce à la déductibilité fiscale des amortissements d'écarts d'acquisition dans certains pays, alors même que cette charge d'impôts différés ne serait due qu'en cas de cession des activités concernées, et qui est par conséquent retraitée dans le résultat net ajusté.

Le Résultat net, part du Groupe, s'établit à 21,6 millions d'euros contre 35,2 millions au premier semestre 2016, la variation étant pour l'essentiel liée au profit exceptionnel de 15,4 millions d'euros enregistré dans le poste « autres charges et produits non courants et non récurrents ».

Le Résultat net ajusté, part du Groupe, qui est l'indicateur pertinent et constant utilisé pour la mesure de la performance, s'établit à 36,0 millions d'euros en progression de 9,0 % par rapport au premier semestre 2016.

La structure financière

Flux nets de trésorerie libre. La capacité d'autofinancement s'établit à 56,6 millions d'euros en ligne avec l'évolution du résultat d'exploitation.
- Le besoin en fonds de roulement connait une variation positive de 7,4 millions d'euros.
- Les investissements courants en immobilisations corporelles et incorporelles, principalement constitués d'investissements informatiques, sont stables à 7,7 millions d'euros.

En ce qui concerne les investissements non courants, Ipsos a investi 5,4 millions d'euros sur le semestre dans son programme d'acquisition, procédant notamment au rachat de minoritaires dans une société américaine et dans certains pays émergents (Amérique centrale notamment). 

Par ailleurs, Ipsos a encaissé 3,8 millions d'euros en relation avec les levées de son plan de stock option IPF 2020, la dilution potentielle des 156 344 actions souscrites ayant pu être compensée par l'annulation d'un même nombre d'actions propres parmi celles rachetées en 2016.

Il est rappelé qu'Ipsos a investi en 2016 dans son programme de rachat d'actions notamment 65 millions d'euros en novembre 2016 dans le contexte du rachat d'un bloc de titres à sa holding de contrôle
LT Participations, opération préalable à la Fusion entre Ipsos et LT Participations intervenue le 29 décembre 2016.

Au 30 juin 2017, Ipsos possède 1 580 596 actions propres (3,6 % de son capital) affectés à la livraison de ses plans d'association de ses salariés.
 
Les capitaux propres s'établissent à 892 millions d'euros au 30 juin 2017 contre 939 millions publiés au 31 décembre 2016, après déduction des 36,4 millions d'euros de dividendes mis en paiement le 5 juillet 2017.

Les dettes financières nettes s'élèvent à 494 millions d'euros au 30 juin 2017 contre 544 millions d'euros au 31 décembre 2016, grâce à la bonne génération de flux de trésorerie d'exploitation mentionnée ci-dessus. 
Le ratio d'endettement net est de 55,4 % contre 58,0 % au 31 décembre 2016.

Position de liquidité. La trésorerie en fin de semestre s'établit à 123 millions d'euros contre 127 millions d'euros au 31 décembre 2016, assurant une bonne position de liquidité à Ipsos qui dispose par ailleurs de plus de 300 millions d'euros de lignes de crédit disponibles.

PERSPECTIVES 2017

Ipsos intervient dans un marché en croissance : la demande d'informations et d'analyses en provenance des entreprises et des institutions publiques pour bien mesurer et bien comprendre la Société, le marché et in fine les personnes, ne faiblit pas. Ce marché est aussi en transformation car aujourd'hui, grâce à l'utilisation de nouvelles avancées du côté des sciences humaines, des modèles statistiques, des technologies et des savoir-faire, il est possible de mieux maîtriser l'information. C'est en utilisant la puissance de ces sciences et de ces technologies mais aussi la compétence de ses équipes et ceci en pleine confiance qu'Ipsos s'engage dans une nouvelle étape : celle où il pourra, de façon légitime, proposer à ses clients de les accompagner dans leur effort de compréhension juste, clair, accessible et complet de leurs propres marchés.

Grâce au programme New Way qui s'achève, comme prévu, à la fin de cette année, Ipsos a fait la démonstration que, grâce à l'innovation et, en l'occurrence, à la mise en oeuvre de Nouveaux Services, une société importante, déjà installée, pouvait tenir son rang et conserver la confiance de ses clients.

Le programme « Total Understanding » dont le principe et l'existence ont été rendus publics il y a déjà quelques mois va prendre le relais. Il s'appuie sur les enseignements du New Way. Il est, aussi, plus ambitieux. Son objectif est qu'Ipsos, à terme, puisse proposer à ses clients tous les moyens qui leur permettent de bien comprendre les comportements, les réactions, les aspirations de leur environnement, des marchés dans lesquels ils interviennent et des gens auxquels ils s'adressent. C'est à ce prix qu'une entreprise peut bâtir des positions concurrentielles gagnantes et aussi vérifier que les moyens qu'elle a décidé de mettre en oeuvre sont efficaces.

C'est en ayant la capacité de déployer une diversité suffisante de solutions d'investigation, d'analyses et de reporting, qu'Ipsos s'affirmera non seulement comme un fournisseur d'informations fiables et pertinentes mais également comme un partenaire dans la maîtrise des informations indispensables à la réussite des idées les plus novatrices et à la mise en oeuvre des plans les plus ambitieux.

Les contours précis du plan « Total Understanding » seront communiqués à l'occasion de la présentation des résultats annuels d'Ipsos en février 2018. D'ici là, les équipes d'Ipsos s'assureront de bien finir l'exercice 2017.

Pour atteindre l'objectif de 3 % de croissance organique en 2017 ainsi qu'il a été publié en début d'année, il serait nécessaire que les entreprises internationales du secteur de la grande consommation qui comptent parmi les plus anciens et plus importants clients d'Ipsos retrouvent leurs niveaux historiques moyens d'activité au deuxième semestre 2017.

Un autre scénario serait que l'activité de ces mêmes entreprises (avec Ipsos) se dégrade davantage ce qui conduirait le taux de croissance d'Ipsos entre 1 et 2 %.

Le premier scénario (le plus optimiste) est peu vraisemblable parce qu'il suppose que ces entreprises soient déjà adaptées à la « nouvelle donne », à ces nouveaux marchés plus fragmentés et volatiles et qu'Ipsos ait eu aussi le temps d'ajuster son offre de services à leurs nouveaux besoins.

Le second scénario (le plus pessimiste) est également peu vraisemblable car il supposerait une dégradation supplémentaire des ventes au second semestre additionnée à une persistance de certains décalages entre le niveau des ventes et le niveau de chiffre d'affaires reconnu.
En outre, la base de comparaison 2016/2017 sera plus favorable au deuxième semestre, notamment vers la fin de l'exercice.

Ceci dit, quel que soit le scénario, que la croissance soit en dessous de 2 % ou au-dessus de 2 %, la marge opérationnelle sera comme annoncée en progression légère par comparaison avec 2016.

Annexes

  • Compte de résultat consolidé
  • État de la situation financière
  • État des flux de trésorerie consolidés

Une plaquette complète des états financiers consolidés
est disponible sur le site
www.ipsos.com/en/investisseurs

La présentation de l'activité et des résultats du premier semestre 2017
sera disponible le 27 juillet sur le site www.ipsos.com/en/investisseurs

GAME CHANGERS


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Compte de résultat consolidé

Comptes semestriels au 30 juin 2017

en milliers d'euros 30/06/2017 30/06/2016 31/12/2016
Chiffre d'affaires 833 794 833 599 1 782 691
Coûts directs (289 583) (288 589) (622 244)
Marge brute 544 211 545 010 1 160 446
Charges de personnel - hors rémunération en actions (374 309) (372 135) (751 754)
Charges de personnel - rémunération en actions * (5 104) (5 039) (9 991)
Charges générales d'exploitation (111 727) (113 873) (220 646)
Autres charges et produits opérationnels (2 355) (180) 2 026
Marge opérationnelle 50 716 53 784 180 080
Dotations aux amortissements des incorporels liés aux acquisitions * (2 405) (2 451) (4 786)
Autres charges et produits non courants (7 973) 8 742 143
Quote-part dans les résultats des entreprises associées  69 (48) (46)
Résultat opérationnel 40 407 60 026 175 391
Charges de financement (9 682) (10 217) (20 811)
Autres charges et produits financiers * (1 134) (1 188) (475)
Résultat net avant impôts 29 591 48 621 154 105
Impôts - hors impôts différés sur amortissement du goodwill (6 622) (10 286) (37 765)
Impôts différés sur amortissement du goodwill * (1 308) (2 162) (6 582)
Impôt sur les résultats (7 930) (12 447) (44 347)
Résultat net 21 660 36 174 109 758
Dont part du Groupe 21 558 35 179 106 897
Dont part des minoritaires  103  995 2 861
Résultat net part du Groupe par action de base  (en euros) 0,50 0,78 2,40
Résultat net part du Groupe par action dilué (en euros) 0,50 0,77 2,36
       
       
       
Résultat net ajusté * 36 380 34 260 124 945
Dont Part du Groupe 36 031 33 047 121 657
Dont Part des minoritaires 349 1 213 3 288
Résultat net ajusté, part du groupe par action 0,84 0,73 2,73
Résultat net ajusté dilué, part du groupe par action 0,83 0,72 2,69

* ajusté des éléments non monétaires liés à l'IFRS 2 (rémunération en actions), de l'amortissement des incorporels liés aux acquisitions (relations clients), des impôts différés passifs relatifs aux goodwills dont l'amortissement est déductible dans certains pays et de l'impact net d'impôts des autres produits et charges non courants et impacts non monétaires sur variations de puts en autres charges et produits financiers.


État de la situation financière

Comptes semestriels au 30 juin 2017

 

en milliers d'euros 30/06/2017 30/06/2016 31/12/2016
ACTIF      
Goodwills 1 198 102 1 241 637 1 259 193
Autres immobilisations incorporelles  64 624  74 455  71 489
Immobilisations corporelles  32 834  34 225  35 517
Participation dans les entreprises associées   557   206   207
Autres actifs financiers non courants  20 001  16 938  22 547
Impôts différés actifs  18 724  13 884  18 184
Actifs non courants 1 334 842 1 381 345 1 407 138
Clients et comptes rattachés  524 548  552 754  624 406
Impôts courants  26 670  21 442  15 204
Autres actifs courants  87 408  88 286  78 677
Instruments financiers dérivés  2 898  6 804  3 399
Trésorerie et équivalents de trésorerie  123 082  126 686  164 892
Actifs courants  764 606  795 972  886 579
TOTAL ACTIF 2 099 448 2 177 318 2 293 717
       
en milliers d'euros 30/06/2017 30/06/2016 31/12/2016
PASSIF      
Capital  11 109  11 334  11 109
Primes d'émission  516 275  540 201 516 489
Actions propres (41 547) (808) (55 905)
Autres réserves 472 063 417 092 492 737
Ecarts de conversion  (82 611) (56 785) (44 819)
Capitaux propres - part du Groupe  875 289  911 034  919 612
Intérêts minoritaires  17 412  20 569  19 805
Capitaux propres  892 701  931 603  939 417
Emprunts et autres passifs financiers non courants  540 539  582 792  626 152
Provisions non courantes  9 150  7 465  9 230
Provisions pour retraites  28 154  25 592  28 029
Impôts différés passifs  97 122  97 897  100 432
Autres passifs non courants  21 663  40 291  21 159
Passifs non courants 696 629  754 037  785 002
Fournisseurs et comptes rattachés  226 417  230 578  262 865
Emprunts et autres passifs financiers courants  79 717  53 230  86 662
Impôts courants  4 586  6 059  11 104
Provisions courantes  8 685  10 147  9 664
Autres passifs courants  190 713  191 663  199 005
Passifs courants  510 118  491 677  569 300
TOTAL PASSIF 2 099 448 2 177 318 2 293 717


État des flux de trésorerie consolidés

Comptes semestriels au 30 juin 2017

en milliers d'euros  30/06/2017  30/06/2016 31/12/2016
OPERATIONS D'EXPLOITATION      
RESULTAT NET 21 660 36 174 109 758
Eléments sans incidence sur la capacité d'autofinancement      
Amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles 12 796 12 754 25 970
Résultat net des sociétés mises en équivalence, nets des dividendes reçus (69)  48  46
Moins-value (plus-value) sur cessions d'actifs (118)  203 2 481
Variation nette des provisions  25 (15 537)   (12 702)
Rémunération en actions 4 747 4 893 9 737
Autres produits et charges calculés (109)  14  978
Frais d'acquisition de sociétés consolidées  132 1 184 1 325
Charge de financement 9 682 10 217 20 811
Charge d'impôt 7 930 12 447 44 347
CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT AVANT CHARGES DE FINANCEMENT ET IMPOT 56 676 62 398 202 752
Variation du besoin en fonds de roulement 7 383 26 191 22 819
Intérêts financiers nets payés (9 715) (9 623) (20 351)
Impôts payés (24 707) (15 838)  

(38 046)
FLUX DE TRESORERIE PROVENANT DE L'EXPLOITATION 29 637 63 128 167 174
OPERATIONS D'INVESTISSEMENT      
Acquisitions d'immobilisations corporelles et incorporelles (7 850) (8 136) (17 631)
Produits des cessions d'actifs corporels et incorporels  200 879 133
Augmentation / (diminution) d'immobilisations financières 1 024 (374) (1 070)
Acquisitions de sociétés et d'activités consolidés nettes de trésorerie acquise - 22 425 23 900
FLUX DE TRESORERIE AFFECTES AUX OPERATIONS D'INVESTISSEMENT (6 627) 14 794 5 332
OPERATIONS DE FINANCEMENT      
Augmentation / (Réduction) de capital - - (225)
(Achats) / Ventes nets d'actions propres 3 790 (6 163) (85 050)
Augmentation / (diminution) des emprunts à long terme (57 170) (63 561) (1 688)
Augmentation / (diminution) des découverts bancaires (338) 1 672  491
Rachats d'intérêts minoritaires (5 441) (32 283) (33 312)
Dividendes versés aux actionnaires de la société mère - - (36 358)
Dividendes versés aux minoritaires des sociétés intégrées  - (465) (431)
FLUX DE TRESORERIE PROVENANT DES OPERATIONS DE FINANCEMENT (59 159) (100 801)  
  (156 575)


 
VARIATION NETTE DE LA TRESORERIE (36 149) (22 879) 15 932
Incidence des variations des cours des devises sur la trésorerie (5 662) (2 010) (2 615)
TRESORERIE A L'OUVERTURE 164 892 151 576 151 576
TRESORERIE A LA CLOTURE 123 082 126 686 164 892

 

Ipsos - Premier semestre 2017



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Source: IPSOS via Globenewswire