Orpea, en proie à des allégations de fautes professionnelles dans ses maisons de soins, a tenu des discussions avec des investisseurs français, menés par la CDC et un groupe de créanciers détenant environ 50 % de sa dette non garantie de 3,8 milliards d'euros (4,1 milliards de dollars). La société a également déclaré qu'elle poursuivrait les discussions avec le groupe de créanciers non garantis afin de parvenir à un accord sur le plan de restructuration, qui comprend une augmentation du capital social pour un montant compris entre 1,3 et 1,5 milliard d'euros.

Par ailleurs, le quotidien économique français Les Echos a rapporté jeudi que le géant du capital-investissement KKR & Co pourrait être intéressé par le rachat de l'activité de services à domicile Domidom de l'opérateur de maisons de soins et a mandaté la banque Centerview à cet effet.

Ni Orpea ni KKR n'ont immédiatement répondu à une demande de commentaire sur le rapport.

(1 $ = 0,9222 euros)