Lagardère a indiqué qu'il ne donnerait son accord au projet de fusion entre les deux groupes européens de l'aéronautique et de défense, EADS et BAE Systems, qu'après avoir examiné « toutes les conditions » d'un éventuel rapprochement, selon l'AFP. Le groupe, actionnaire à hauteur de 7,5% dans le capital d'EADS, a précisé « que ce projet n'a pas encore été soumis à l'approbation » des conseils d'administration d'EADS et de Sogeade Gérance, la holding qui représente les intérêts de l'Etat français et de Lagardère dans le groupe EADS.