LVMH a pris acte de la décision de la Cour de Justice du Delaware, qui s’est prononcée en faveur d’un procès devant commencer en janvier 2021, et non pas en novembre 2020 tel que le demandait Tiffany. Le numéro un mondial du luxe " est pleinement confiant dans sa capacité à repousser les accusations de Tiffany et à convaincre la Cour que les conditions de réalisation de cette acquisition ne sont plus réunies ". A cet égard, LVMH démontrera au cours des prochains mois à la justice américaine que la mauvaise gestion de Tiffany durant la crise du COVID-19 constitue un Material Adverse Effect.

Valeurs citées dans l'article : LVMH Moët Hennessy - Louis Vuitton SE, Tiffany & Co.