En dépit d'une dynamique favorable du marché à Londres, Michael Page décroche de 5,2% à 345 pence, à la suite d'un point d'activité du troisième trimestre dynamique, mais accompagné de perspectives prudentes.

Le cabinet de recrutement britannique dévoile un profit brut de 142,7 millions de livres sterling au titre du trimestre écoulé, en croissance de 26,5% en comparaison annuelle, dont une hausse de 21,8% hors effets de change.

En devises locales, le profit brut a été entrainé par les marchés internationaux, surtout en Asie Pacifique et sur le continent américain, alors qu'il est resté pratiquement étale au Royaume Uni. La part du profit brut réalisé en recrutement permanent s'est accrue par rapport à celle réalisée en placement temporaire.

'Les marchés se sont affaiblis et deviennent plus incertains, réduisant ainsi notre visibilité à court terme', prévient toutefois le directeur général Steve Ingham, avant d'ajouter 'continuer à investir là où il existe des opportunités de croissance à long terme.'

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