Novartis : Le spectre d’un paludisme résistant aux traitements

La lutte contre le paludisme continue de progresser en Asie du Sud-Est et en Afrique sub-saharienne, grâce notamment aux valeureux efforts d'innombrables personnes, parmi lesquelles Agnes Akoth et Dismus Mwalukwanda(link is external), qui chaque jour se dévouent à leurs communautés avec la profonde conviction de pouvoir faire une différence.

Et les efforts qu'ils déploient font vraiment la différence. Des progrès significatifs ont été réalisés dans la lutte contre le paludisme au cours des 15 dernières années, avec une baisse de près de deux tiers du nombre de décès causés par le paludisme.
Toutefois, l'émergence de signes de résistance aux antipaludéens existants est une source d'inquiétude croissante qui est susceptible de menacer les progrès réalisés dans la lutte contre la maladie.

L'étendue du fardeau du paludisme est toujours considérable. Près de la moitié de la population mondiale est exposée au paludisme et la maladie tue environ un demi-million de personnes chaque année, pour la plupart des enfants. Ce nombre demeure bien trop élevé pour une maladie que l'on peut prévenir, traiter et guérir.

Pour pouvoir continuer de progresser face au paludisme, il faudra maintenir les efforts sur plusieurs fronts à la fois, à savoir : accroître les efforts de prévention, garantir l'accès aux traitements existants et engager la recherche et le développement de traitements antipaludéens de la prochaine génération.

La réussite de la lutte contre le paludisme repose sur un effort conjoint entre les gouvernements, les ONGs et le secteur privé.

Pour en savoir plus sur notre engagement : Novartis Malaria Initiative.