Questions écrites

Rueil-Malmaison(France), 27 avril 2021 - Dans le cadre de l'Assemblée générale prévue le 28 avril 2021, le Conseil d'administration a reçu le 31 mars 2021 du Forum pour l'Investissement Responsable, actionnaire de la Société, treize questions écrites auxquelles ont été apportées les réponses figurant ci-dessous.

Environnement

1. Pour être en ligne avec l'Accord de Paris, quels sont les montants de CAPEX à horizon 2025 ?

Comment ces CAPEX seront répartis sur l'ensemble de la chaîne de valeur entre CAPEX de maintenance et CAPEX de croissance ? Quelle est la répartition géographique ?

La raison d'être de Schneider Electric est de permettre à chacun de tirer le meilleur de son énergie et de ses ressources, afin de concilier progrès et développement durable pour tous. A ce titre, l'investissement en CAPEX de Schneider Electric le plus significatif pour contribuer à l'Accord de Paris est l'investissement en innovations qui contribuent à un monde décarboné. Afin de contribuer davantage à un nouveau monde électrique et digital, 100 % des projets d'innovation de Schneider Electric sont alignés sur son objectif, plus de 90 % de ces projets étant neutres ou verts (en excluant certaines innovations intenses en émissions ou gaz à effet de serre ou destinées au secteur fossile).

Concernant les opérations du Groupe, afin d'atteindre la neutralité carbone à horizon 2025, le Groupe va continuer à investir dans l'efficacité énergétique, les énergies renouvelables et les véhicules électriques. Par exemple, en 2020 environ 15 millions d'euros ont été investis dans le programme 'Energie Action', dont 14,4 millions d'euros en coûts d'investissement et 0,6 million d'euros en coûts d'exploitation. Ces investissements sont inclus dans les budgets de chaque organisation et chaque site. Ce programme permet également de générer des économies : en 2020, environ 10 millions d'euros et 130 millions de kWh ont été économisés par rapport à 2017, grâce à une réduction des consommations d'énergie de 10,3 %. L'installation de panneaux solaires sur nos sites est souvent réalisée avec des modèles de leasing, et permet également de générer des économies sur les factures d'énergie. Enfin, le déploiement des véhicules électriques sera adapté par pays, en tenant compte des coûts induits et de la disponibilité des véhicules et infrastructures de recharge. Ce programme sera également associé

  • une revue des usages de mobilité des collaborateurs, dans un environnement où la mobilité a été profondément modifiée par la COVID-19. La répartition géographique de ces investissements est proportionnelle à la répartition de nos activités.

2. Comment limitez-vous l'impact de la perte de biodiversité sur vos revenus futurs ? Précisez les indicateurs et moyens mis en place.

  • Schneider Electric reconnaît l'importance de la Nature et de la Biodiversité pour la prospérité de l'humanité ; nous sommes tous dépendants des ressources naturelles et des services fournis par les écosystèmes. La lutte contre la disparition de la nature doit être une priorité pour les entreprises : la nature est essentielle à la prospérité économique mondiale et à la réussite des entreprises individuelles.

    Pour Schneider Electric, les risques les plus pertinents relatifs au déclin de la biodiversité sont liés à l'impact sur le dérèglement climatique (déstockage de carbone des écosystèmes) et sur le fonctionnement de notre société (services écosystémiques, santé humaine, etc.). En outre, le déclin de la biodiversité pourrait avoir un impact significatif sur l'augmentation du coût des matières premières et,

  • terme, sur leur disponibilité. Enfin, les habitats naturels offrent une bonne protection contre les conditions météorologiques extrêmes, ce qui signifie que la dégradation de la nature peut nuire à la continuité des activités.

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En 2020, Schneider Electric s'est associé à CDC Biodiversité pour réaliser la première empreinte biodiversité sur l'ensemble de sa chaine de valeur (disponible ici). La mesure est la toute première étape pour comprendre et agir stratégiquement sur les impacts, directs et indirects.

Cette empreinte biodiversité a permis de montrer que les émissions de gaz à effet de serre représentent près de 70 % de la pression exercée par les activités de Schneider Electric sur la biodiversité. Par conséquent, les engagements climatiques du Groupe revêtent une importance accrue, dans la mesure où ils auront un impact significatif sur la réduction des pressions sur la biodiversité. Schneider Electric s'engage à ce que ses activités directes (scope 1) n'entrainent aucune perte nette de biodiversité d'ici 2030. Il est également important de souligner la pertinence des solutions et technologies de Schneider Electric pour soutenir la préservation de la biodiversité. Les technologies EcoStruxure s'appuient sur le digital pour économiser l'énergie, l'eau et les ressources, réduire la pression sur le changement climatique, optimiser l'utilisation des sols et renforcer la transparence, la traçabilité et la circularité dans les chaînes de valeur. D'ici à 2025, Schneider Electric ambitionne notamment d'aider ses clients à réduire leurs émissions de CO2 de 800 millions de tonnes de CO2 (cumul 2018 à 2025).

Le deuxième enseignement de cette empreinte biodiversité du Groupe est qu'une part importante de l'empreinte se situe en amont de la chaîne d'approvisionnement. L'usage de ressources plus respectueuses de la biodiversité nécessitera des innovations, à la fois en termes de traçabilité et de conception des produits. D'ici 2025, Schneider Electric ambitionne de s'associer aux fournisseurs pour augmenter la teneur en matières durables des produits à 50 % et atteindre 100 % d'emballages exempts de plastiques à usage unique et utilisant du carton recyclé.

A travers des offres de services alignées avec l'économie circulaire, Schneider Electric peut également contribuer à réduire la dégradation des écosystèmes, tout en générant des revenus additionnels. Par exemple, le Groupe vise à éviter la consommation de 420 000 tonnes de ressources avec des offres de « reprise en fin de vie » des produits.

Enfin, les plans pour la continuité des opérations du Groupe intègrent les risques physiques liés au changement climatique et à la dégradation des écosystèmes. Ces plans permettent d'accroitre la résilience des opérations du Groupe, et d'éviter la destruction des infrastructures industrielles et la perte de revenus associée.

3. Comment anticipez-vous la raréfaction de certaines ressources naturelles et les difficultés d'approvisionnement de vos ressources stratégiques ?

En quoi cela affecte-t-il vos modèles économiques et comment sécurisez-vous vos filières d'approvisionnement ?

L'analyse ainsi que la prévention ou résolution active de risques fournisseurs et d'approvisionnement est un processus institué depuis plusieurs années à l'échelle mondiale et fait l'objet d'audits réguliers par des organismes tiers. Dans le contexte récent de menaces accentuées (pandémie, tensions politiques, risques climatiques, etc.), l'ensemble de l'organisation industrielle (Global Supply Chain) de Schneider Electric a mis en place un programme spécifique de 'résilience' qui inclut des dispositions

étendues et des mesures supplémentaires vers les fournisseurs, comme des réserves de capacités, la diversification des sources, la constitution de stocks stratégiques, etc.

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Social

  1. La solidarité entre acteurs économiques, grandes et petites entreprises, semble nécessaire pour limiter les impacts négatifs de la crise actuelle.
    Comment votre groupe adapte-t-il, aux plans national et international, ses pratiques d'achat ou de vente, pour soutenir ses fournisseurs ou ses clients qui sont affectés par la crise ? Appliquez-vous des politiques différenciées pour les TPE-PME ?
    La crise vous a-t-elle poussé à changer structurellement vos politiques en la matière ?
    Schneider Electric est très impliqué dans l'écosystème industriel en France et collabore avec plus de
    4000 PMEs et ETIs parmi nos fournisseurs. Schneider Electric est également membre fondateur du PactePme qui promeut des relations fructueuses et équilibrées entre Grands Groupes et PMEs, à travers la 'Charte des relations fournisseurs responsables' et plusieurs programmes concrets d'appui aux PMEs. Schneider Electric est également associé à la gouvernance de plusieurs Pôles de Compétitivité en Régions qui fédèrent des centaines de PMEs et les Grands Groupes autour de l'innovation, le développement durable, la compétitivité à l'international.
    Dans le contexte difficile engendré par la pandémie en 2020, la reconnaissance par les autorités publiques, en France et dans de nombreux pays, de Schneider Electric comme 'industrie essentielle', a contribué au maintien de l'activité avec nos fournisseurs, et a été accompagnée par des mesures concrètes de soutien vers les PMEs, aussi bien au plan sanitaire qu'économique.
  2. Comment gérez-vous, au niveau du groupe, les impacts sociaux associés au développement massif du télétravail depuis le début de la pandémie ?
    Notamment en termes de gestion des risques psychosociaux, de participation aux frais, d'enquête de satisfaction des salarié.e.s, d'inversion du choix des salarié.e.s, de part des salarié.e.s en télétravail, etc.
    La survenue de la crise de la COVID 19 a accéléré un recours massif au télétravail et ce dans l'ensemble des pays où Schneider Electric opère. Schneider Electric a pu gérer sans difficulté particulière ce basculement car, dans la grande majorité des pays, le télétravail faisait déjà partie des modes d'organisation du travail au titre de la politique dite des New Ways of Working. Chaque pays a donc adapté ses dispositifs existants de télétravail à l'occasion des périodes de confinement mais aussi de déconfinement et ce, afin de limiter l'exposition des salariés au risque pandémique.
    Les dispositifs en place avant la crise seront très probablement amenés à être revus et adaptés dans le cadre des réflexions que le Groupe mène actuellement pour adapter au mieux son organisation à la situation d'après crise.
    L'aménagement des postes de travail à domicile a été réalisé dans certains pays comme en France où les salariés en situation de télétravail ont été équipés de matériel (fauteuil, clavier, réhausseur, etc.) leur permettant de poursuivre leur activité dans des conditions ergonomiques adaptées.
    Dans tous les pays, les Directions des Ressources Humaines ont mis en place un ensemble de programme d'alerte, de sensibilisation et de formation aux risques psycho-sociaux en complément de ceux déjà existants. Les Directions de la Santé au Travail et de la Formation ont travaillé étroitement ensemble pour rapidement mettre en place des formations managériales permettant aux managers d'acquérir rapidement des réflexes essentiels au management d'équipes se trouvant à distance.
    Les résultats de l'enquête de satisfaction interne publiés en juin 2020 ont fait ressortir une augmentation significative du taux d'engagement des collaborateurs dans le monde (+5 pts vs. 2019). Dans le cadre de cette même enquête, les salariés ont été invités à évaluer la qualité des mesures sanitaires mises en place par le Groupe à l'occasion de cette pandémie. 75 % des répondants (soit plus de 100 000 salariés à travers le monde) ont estimé très satisfaisantes les mesures sanitaires mises en place par le Groupe et 85 % estimant disposer des équipements nécessaires à leur protection.

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6. Avez-vous une définition du « salaire décent » ne se limitant pas au salaire minimum légal local ? Si oui, laquelle ?

Comment votre société s'assure-t-elle que ses salarié.e.s, mais aussi les salarié.e.s de ses fournisseurs, bénéficient d'un salaire décent ?

Conformément à sa politique en matière de Droits humains et à ses Principes de Responsabilité,

Schneider Electric estime que l'obtention d'un salaire décent est un droit humain fondamental. Schneider Electric s'engage à verser à ses collaborateurs les moins bien rémunérés au minimum le salaire de subsistance (ou salaire décent) leur permettant de répondre aux besoins élémentaires de leur famille. Par besoins élémentaires, le Groupe entend la nourriture, le logement, l'hygiène, l'éducation, la santé ; un revenu discrétionnaire est calculé pour un niveau de vie local donné.

En 2018, Schneider Electric a entamé une collaboration avec un conseiller indépendant, Business for Social Responsibility (BSR), afin de mettre en œuvre un engagement envers le salaire de subsistance. Schneider Electric a lancé un processus global d'analyse des niveaux de rémunération et des pratiques en matière d'emploi par comparaison à des standards locaux de salaire de subsistance déterminés par BSR. Fin 2019, l'analyse portait sur 63 pays atteignant 99 % de l'empreinte Schneider Electric. En ce qui concerne l'année 2020, la crise de la COVID-19 a souligné encore plus fortement la nécessité d'un filet de sécurité pour garantir un niveau de revenu minimum aux collaborateurs. Compte tenu de la complexité de l'évaluation et de l'atténuation de l'impact macroéconomique de la crise, le Groupe n'a pas effectué d'analyse des écarts en 2020. Néanmoins, Schneider Electric a réitéré son engagement à verser au minimum un salaire décent à 100 % de ses collaborateurs, dans le cadre de politiques justes et équitables.

À partir de 2021, l'engagement fera l'objet d'un audit annuel avec le soutien d'un tiers indépendant.

Schneider Electric continue également de faire partie des coalitions de grandes entreprises telles que le G7 Business for Inclusive Growth (B4IG), l'OCDE et le groupe « LEAD » du Pacte Mondial des Nations Unies pour le travail décent dans les chaînes d'approvisionnement mondiales. Ces coalitions mondiales travaillent de concert pour mettre en œuvre des normes de salaire décent pour leur personnel et dans l'ensemble de leur écosystème.

La prise en compte d'un salaire décent pour les salariés des fournisseurs de Schneider Electric s'inscrit dans la politique d'achats durables du Groupe. Depuis 2004, le Groupe encourage ses fournisseurs afin qu'ils s'engagent eux-mêmes dans une démarche durable. À partir de 2012, Schneider Electric a souhaité se placer dans une démarche d'amélioration continue plus suivie avec ses fournisseurs en les encourageant à progresser selon les lignes directrices de la norme internationale ISO 26000.

Cette démarche est renforcée par les Conditions générales d'Achats auxquelles tout fournisseur doit se conformer : chaque fournisseur s'engage à respecter les principes et lignes directrices de la norme ISO 26000.

Schneider Electric a défini de nouveaux objectifs pour la période 2021-2025, dans le cadre de la stratégie de développement durable et en particulier de son programme 'Devoir de Vigilance'. En développant le précédent plan d'audit de 350 fournisseurs à risque élevé, le Groupe s'est fixé désormais l'objectif de réaliser 1 000 audits sur site des fournisseurs à risque élevé et 3 000 audits d'auto-évaluation de fournisseurs à risque moyen.

Le Groupe souhaite également garantir que 100 % de ses fournisseurs stratégiques assurent un travail décent, selon la définition de l'Organisation Internationale du Travail (OIT), à leurs salariés d'ici 2025.

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7. Dans le cadre de la formule des accords d'intéressement dont bénéficient vos salarié.e.s en

France, prenez-vous en compte des critères environnementaux et sociaux ? Si oui :

  • Quels sont ces critères ? Ont-ils évolué depuis le 1er avril 2020 ?
  • Quelle est la proportion de ces critères dans la formule d'intéressement ? A-t-elle évolué depuis un an ?
  • Quelle est la part des salarié.es concernés ?

Les dispositifs d'intéressement en France reposent pour 50 % sur des critères Groupe et pour 50 % sur des critères locaux propres à chaque entité couverte par l'accord d'intéressement Groupe.

Depuis 2012, la partie Groupe intègre des critères environnementaux et sociaux puisque le Baromètre Planet and Society est une composante majeure des objectifs d'intéressement. Au titre de l'accord triennal en cours (2018-2020), ce critère représente 25 % de la part collective Groupe. Ainsi, l'ensemble des 15 000 collaborateurs de Schneider Electric en France sont intéressés à la performance sociale et environnementale du Groupe.

En 2021 s'ouvriront de nouvelles négociations afin de renouveler, pour une période de 3 ans, l'accord Groupe d'intéressement. Sans présager de l'issue de ces négociations, la direction de Schneider Electric en France proposera que les objectifs liés au nouveau programme Schneider Sustainability Impact occupent une place centrale dans le dispositif d'intéressement triennal qui s'appliquera à compter de 2021.

8. Dans le cadre de l'épargne salariale, quels sont les fonds bénéficiant effectivement d'un label responsable (CIES, Finansol, Greenfin, ISR) ?

Parmi les fonds proposés au sein des dispositifs d'épargne salariale de Schneider Electric, le fonds

Schneider Energie Solidaire (ECOFI INVESTISSEMENT) bénéficie du label Finansol. La SICAV et le

FCPE ne disposent pas du label ISR d'Etat mais répondent au processus ISR de niveau 3 plus contraignant puisqu'il réduit l'univers d'investissement de 60 %.

Pour chaque fonds proposé, quel est le nom du ou des labels, quelle est sa part en pourcentage de l'encours d'épargne salariale, à quelle proportion des salarié.e.s est-il proposé ?

Le fonds Schneider Energie Solidaire représente 4 % des encours du PEG et 3 % des encours du

PERCO. Le fonds Schneider Energie Solidaire est proposé à l'ensemble des salariés français.

Par ailleurs, quelle est la part des salarié.e.s du groupe, en France et à l'étranger, ayant accès à d'autres formes d'épargne souscrite sur un plan professionnel, notamment en matière de retraite ?

En France, 100 % des salariés ont accès à l'Article 83 (retraite supplémentaire d'entreprise obligatoire).

En dehors de la France, plus de 50 % des employés de Schneider Electric bénéficient de plans de retraite supplémentaires financés par l'entreprise, en plus de la retraite statutaire disponible dans tous les pays.

Quelle proportion des actifs correspondant à cette épargne est gérée de façon socialement responsable et dispose de « signes de qualité » ? Lesquels ?

Afin d'appuyer sa responsabilité fiduciaire, le Groupe a défini des recommandations d'investissement mondiales incluses dans sa politique globale d'avantages sociaux. Sur la base de ces directives, Schneider Electric recommande à toutes les filiales de proposer aux employés des options d'investissement crédibles, diversifiées et durables, en accord avec les considérations ESG. En France, le fonds Renaissance (COMGEST) remplit à 20 % les normes ESG1, à 74 % les normes ESG2 et à 6 % les normes ESG3. Le fonds Renaissance représente 6 % des encours de l'Article 83.

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Schneider Electric SE published this content on 27 April 2021 and is solely responsible for the information contained therein. Distributed by Public, unedited and unaltered, on 27 April 2021 18:28:07 UTC.