"La nature robuste de notre croissance et la solidité de notre bilan sans dette bancaire signifient que nous sommes bien placés pour saisir les opportunités à long terme au sein de notre marché. Nous avons pu obtenir ces résultats sans devoir procéder à des licenciements, et nos plans pour 2021 consistent à continuer d'investir dans les compétences et les talents afin de réaliser nos ambitions de croissance et d'accroître encore notre part de marché", a commenté le PDG Graeme Watt.

Qu'est-ce qui cloche alors ? Pour Jefferies, c'est une base de comparaison élevée et des dépenses informatiques sous pression chez les clients qui risquent de peser sur les performances 2020/2021. L'analyste craint notamment une dépense publique contrainte et des coups de frein des investissements du secteur privé à cause des restrictions liées au coronavirus. Jefferies n'est pas inquiet pour le moyen terme, pas suffisamment en tout cas pour changer son avis positif sur le titre.