Spie a publié un chiffre d'affaires au premier trimestre 2021 de 1,611 milliard d'euros, en hausse de 0,2% en base publiée et de 1,4% en organique par rapport au premier trimestre 2020, qui n’avait été que très peu affecté par les débuts de la crise liée à la Covid-19, précise le groupe. Le spécialiste des services multi-techniques dans les domaines de l’énergie et des communications a apr ailleurs publié un EBITDA de 59,7 millions d'euros, en progression de 2,5%, pour une marge de 3,7% (+10 points de base).

"La production a dépassé celle du premier trimestre 2019 en base organique, et notre marge d'EBITA s'est élevée au niveau pré-Covid-19, s'est félicité Gauthier Louette, le PDG de Spie. La France et l'Allemagne ont toutes deux réalisé une très bonne croissance, supérieure ou égale à 4%, mettant une fois de plus en lumière la vitalité de nos marchés et la pertinence de notre positionnement au service de la transition énergétique et de la transformation numérique de nos clients".

La contribution des acquisitions bolt-on a été de +0,1 %, tandis que la cession, intervenue en mars 2020, des activités de maintenance itinérante de Spie UK a représenté un impact de -0,7 %. L'effet de change a été de -0,6 %.

Pour l'exercice 2021, Spie continue de tabler sur un fort rebond de sa production et de sa marge d'EBITA, toutes deux attendues très proches des niveaux de 2019, ainsi que sur une production annualisée acquise au travers d'acquisitions bolt-on de l'ordre de 200 millions d'euros. Par ailleurs, le groupe poursuivra la réduction de son effet de levier, et proposera un taux de distribution aux actionnaires maintenu autour de 40% du résultat net ajusté.