L'allemand Remondis a proposé de prendre une participation minoritaire d'au moins 20% et pouvant aller jusqu'à 40% du capital du "Nouveau Suez". Le PDG de Remondis, Ludger Rethmann, accepte "le principe que la majorité du capital restera détenue par un actionnariat français" et précise que la montée au capital du "Nouveau Suez" ne nécessiterait pour le groupe allemand aucun financement extérieur.

Valeurs citées dans l'article : Suez, Veolia Environnement