Takeda Pharmaceutical Company Limited (TSE:4502/NYSE:TAK) a annoncé aujourd'hui que le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l'Agence européenne des médicaments (EMA) a émis un avis positif recommandant l'approbation d'ALUNBRIG (brigatinib) en monothérapie pour le traitement des patients adultes atteints d'un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avancé exprimant la kinase du lymphome anaplasique (ALK+) n'ayant pas encore reçu d'inhibiteur de l'ALK. ALUNBRIG est un inhibiteur de la tyrosine kinase (ITK) de nouvelle génération, conçu pour cibler et inhiber les modifications génétiques de l’ALK.

« Compte tenu de la nature complexe du CPNPC ALK+ et de la manière dont la maladie se propage souvent au niveau du cerveau, il est essentiel que les médecins disposent d'options de traitement démontrant une efficacité à la fois globale et intracrânienne », a déclaré le professeur Sanjay Popat, consultant en oncologie médicale au Royal Marsden NHS Foundation Trust. « Dans l'essai ALTA-1L, le brigatinib a démontré des réponses significatives au niveau du cerveau et une efficacité globale constante par rapport au crizotinib. S'il est approuvé par l'EMA, le brigatinib pourrait devenir une option importante pour le traitement de première intention des patients atteints d'un CPNPC avancé de type ALK+ en Europe. »

Cet avis est basé sur les données de l'essai ALTA-1L de Phase 3, qui évalue l'innocuité et l'efficacité d'ALUNBRIG par rapport au crizotinib chez les patients atteints d’un CPNPC ALK+ localement avancé ou métastatique n'ayant pas reçu de traitement préalable avec un inhibiteur de l'ALK. Les résultats de cet essai ont montré qu'ALUNBRIG était supérieur au crizotinib, des réponses significatives ayant été observées chez les patients présentant des métastases cérébrales au départ. Après plus de deux ans de suivi, ALUNBRIG a réduit le risque de progression de la maladie intracrânienne ou de décès de 69 % chez les patients présentant des métastases cérébrales au départ (rapport de risque [RR] : 0,31, IC à 95 % : 0,17-0,56), selon l'évaluation d'un comité d'examen indépendant en aveugle (CEIA), et de 76 % (RR : 0,24, IC à 95 % : 0,12-0,45), selon l'évaluation des chercheurs. ALUNBRIG a également démontré une efficacité globale constante (population en intention de traiter), avec une survie sans progression (SSP) médiane de 24 mois (IC à 95 % : 18,5-NE), plus de deux fois supérieure à celle du crizotinib qui est de 11 mois (IC à 95 % : 9,2-12,9), selon l'évaluation du CEIA, et de 29,4 mois (IC à 95 % : 21,2-NE) contre 9,2 mois (IC à 95 % : 7,4-12,9), selon l'évaluation des chercheurs.

Le profil d'innocuité d'ALUNBRIG dans l'essai ALTA-1L était généralement similaire au Résumé des caractéristiques du produit (RCP) existant pour l’Europe. Les effets indésirables apparus en cours de traitement (EIAT) de grade ≥3 les plus courants dans le groupe ALUNBRIG étaient une élévation de la CPK (24,3 %), une élévation de la lipase (14,0 %) et l'hypertension (11,8 %) et, pour le crizotinib, une élévation de l'ALAT (10,2 %), de l'ASAT (6,6 %) et de la lipase (6,6 %).

« Le développement d'options de traitement sûres et efficaces pour le cancer est une priorité absolue pour Takeda, et nous continuons à chercher des réponses aux besoins non satisfaits de la communauté du cancer du poumon », a déclaré Christopher Arendt, responsable de l’unité thérapeutique Oncologie chez Takeda. « L'avis positif émis aujourd'hui par le CHMP est une étape importante pour mettre ALUNBRIG à la disposition des personnes vivant avec un CPNPC ALK+ avancé, et nous nous réjouissons de continuer à travailler avec l'EMA alors qu'elle examine la demande pour ALUNBRIG comme traitement de première intention pour les patients atteints de cette forme grave et rare de cancer du poumon. »

« Le CPNPC ALK+ est une forme plus rare de cancer du poumon, et les besoins des personnes touchées par ce cancer sont multiples », a déclaré Stefania Vallone, présidente de Lung Cancer Europe (LuCE). « Malgré les progrès réalisés ces dernières années, il subsiste un besoin d'autres options de traitement de première intention pour les quelque 10 000 personnes atteintes d'un CPNPC ALK+ en Europe. »

L'avis positif concernant ALUNBRIG va maintenant être examiné par la Commission européenne (CE) en vue d'une décision de la Commission. ALUNBRIG n'est actuellement pas approuvé comme traitement de première intention du CPNPC ALK+.

À propos de l'essai ALTA-1L
L'essai ALTA-1L (ALK in Lung Cancer Trial of BrigAtinib in 1st Line) de Phase 3 concernant ALUNBRIG chez les adultes est une étude mondiale en cours, randomisée, ouverte, comparative et multicentrique, portant sur 275 patients (ALUNBRIG, n=137, crizotinib, n=138) atteints d'un CPNPC ALK+ localement avancé ou métastatique encore jamais traités par un inhibiteur de l'ALK. Les patients ont reçu soit 180 mg d’ALUNBRIG une fois par jour avec une phase préparatoire de sept jours à 90 mg une fois par jour, soit 250 mg de crizotinib deux fois par jour.

L'âge médian était de 58 ans dans le groupe ALUNBRIG et de 60 ans dans le groupe crizotinib. Vingt-neuf pour cent des patients présentaient des métastases cérébrales au niveau de base dans le groupe ALUNBRIG, et 30 % dans le groupe crizotinib. Vingt-six pour cent des patients avaient déjà suivi une chimiothérapie pour une maladie en phase avancée ou métastatique dans le groupe ALUNBRIG, contre 27 % dans le groupe crizotinib.

La survie sans progression (SSP), évaluée en aveugle par un comité d'examen indépendant, était le critère d’évaluation principal. Les critères d’évaluation secondaires incluaient le taux de réponse objective (TRO) selon RECIST v1.1, le TRO intracrânien, la SSP intracrânienne, la survie globale (SG), l'innocuité et la tolérabilité.

Le profil d'innocuité d'ALUNBRIG dans l'essai ALTA-1L était généralement similaire au Résumé des caractéristiques du produit (RCP) existant pour l’Europe.

À propos d'ALUNBRIG® (brigatinib)
ALUNBRIG est un inhibiteur de la tyrosine kinase (ITK) de nouvelle génération, puissant et sélectif, conçu pour cibler et inhiber les altérations génétiques de la kinase du lymphome anaplasique (ALK). En avril 2017, ALUNBRIG a reçu une autorisation accélérée de l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (la « FDA ») pour le traitement des patients atteints d’un CPNPC métastatique ALK+ ayant vu leur maladie progresser en prenant du crizotinib ou qui sont intolérants à celui-ci. Cette indication est approuvée dans le cadre de l’autorisation accélérée sur la base du taux de réponse de la tumeur et de la durée de la réponse. Le maintien de l’autorisation pour cette indication peut être soumis à une vérification et à la description des bénéfices cliniques dans le cadre d’un essai confirmatoire.

ALUNBRIG est actuellement approuvé dans plus de 40 pays, notamment aux États-Unis, au Canada et dans l'Union européenne, pour le traitement des patients atteints d'un CPNPC métastatique ALK+ pour lesquels la maladie s'est aggravée durant le traitement par crizotinib ou qui ne peuvent tolérer la prise de crizotinib.

ALUNBRIG a reçu la désignation de traitement révolutionnaire de la FDA pour le traitement des patients atteints d'un CPNPC ALK+ dont les tumeurs sont résistantes au crizotinib, et a reçu la désignation de médicament orphelin de la FDA pour le traitement des CPNPC ALK+, ROS1+ et EGFR+.

À propos du CPNPC ALK+
Le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) est la forme la plus commune de cancer du poumon, représentant environ 85 % des 1,8 million de nouveaux cas de cancer du poumon diagnostiqués chaque année dans le monde, selon l'Organisation mondiale de la santé.1,2 Des études génétiques indiquent que les réarrangements chromosomiques de la kinase du lymphome anaplasique (ALK) sont des éléments clés dans un sous-groupe de patients atteints de CPNPC.3 Entre trois et cinq pour cent des patients atteints d'un CPNPC métastatique présentent un réarrangement du gène ALK .4,5,6

Takeda s’est engagée à poursuivre ses efforts de recherche et développement pour le CPNPC en vue d’améliorer la vie des quelque 40 000 patients diagnostiqués avec cette forme grave et rare de cancer du poumon chaque année dans le monde.7

Engagement de Takeda dans le domaine du cancer du poumon
Takeda s'engage à diversifier les options thérapeutiques contre le CPNPC ALK+ et le CPNPC avec mutation de l’EGFR/HER2. Nos programmes exhaustifs comprennent les essais cliniques suivants pour continuer à répondre aux besoins non satisfaits des personnes atteintes d'un cancer du poumon :

ALUNBRIG

  • Essai de Phase 1/2, visant à évaluer l'innocuité, la tolérabilité, la pharmacocinétique et l'activité antitumorale préliminaire d'ALUNBRIG. Cet essai a terminé son recrutement.
  • Essai pivot ALTA de Phase 2 évaluant l'efficacité et l'innocuité d'ALUNBRIG avec deux posologies chez les patients atteints d'un CPNPC ALK+ localement avancé ou métastatique, dont la maladie a progressé pendant un traitement par crizotinib. Cet essai a terminé son recrutement.
  • Essai ALTA-1L de Phase 3, mondial et randomisé, évaluant l'efficacité et l'innocuité d'ALUNBRIG en comparaison au crizotinib chez les patients atteints d'un CPNPC ALK+, localement avancé ou métastatique, n'ayant pas encore reçu de traitement avec un inhibiteur de l'ALK. Cet essai a terminé son recrutement.
  • Essai J-ALTA de Phase 2, à groupe unique et multicentrique, chez des patients japonais atteints d'un CPNPC ALK+, et ciblant les patients ayant présenté une progression de la maladie pendant la prise d'alectinib. Cet essai a terminé son recrutement.
  • Essai ALTA 2 de Phase 2, mondial et à groupe unique évaluant ALUNBRIG chez les patients atteints d'un CPNPC ALK+ avancé ayant progressé durant la prise d'alectinib ou de ceritinib. Cet essai a terminé son recrutement.
  • Essai ALTA 3 de Phase 3, mondial et randomisé, comparant l'efficacité et l'innocuité d'ALUNBRIG par rapport à l'alectinib chez les participants atteints d'un CPNPC ALK+ ayant progressé durant la prise de crizotinib. Cet essai est actuellement en phase de recrutement.

TAK-788, un inhibiteur sélectif des mutations de l’EGFR/HER2, actuellement en cours d'exploration pour les mutations d'insertion dans l'exon 20 de l'EGFR :

  • Étude de Phase 1/2 évaluant l'innocuité, la pharmacocinétique et l'activité antitumorale de TAK-788, un inhibiteur de l’EGFR/HER2, par voie orale chez les patients atteints d'un CPNPC. Cet essai a terminé son recrutement.
  • Essai de prolongement pivot EXCLAIM de Phase 2 de l'essai de Phase 1/2, visant à évaluer l'efficacité et l'innocuité de TAK-788 à une dose quotidienne unique de 160 mg chez les patients précédemment traités qui présentent des mutations d'insertion dans l'exon 20 de l’EGFR. Cet essai a terminé son recrutement.
  • Étude EXCLAIM 2 de Phase 3, mondiale et randomisée, évaluant l'efficacité de TAK-788 en tant que traitement de première intention en comparaison à une chimiothérapie en doublet à base de platine chez des patients naïfs de traitement atteints d'un CPNPC localement avancé ou métastatique dont les tumeurs comportent des mutations d'insertion dans l'exon 20 de l'EGFR. Cet essai est actuellement en phase de recrutement.
  • Étude de Phase 1, ouverte, multicentrique et à dose croissante évaluant l'innocuité, la tolérabilité et la pharmacocinétique de TAK-788 chez des patients japonais atteints d'un CPNPC localement avancé ou métastatique. Cet essai a terminé son recrutement.
  • Étude J-EXCLAIM de Phase 2, ouverte et multicentrique, évaluant l'efficacité de TAK-788 en tant que traitement de première intention chez des patients japonais atteints d'un CPNPC localement avancé ou métastatique dont les tumeurs comportent des mutations d’insertion dans l'exon 20 de l'EGFR. Cet essai est actuellement en phase de recrutement.
  • Étude de Phase 1, ouverte, à deux périodes et séquence fixe, visant à caractériser l'interaction médicament-médicament entre TAK-788 et soit un puissant inhibiteur du cytochrome P-450 (CYP)3A, l’itraconazole (partie 1), soit un puissant inducteur du CYP3A, la rifampine (partie 2), chez des sujets adultes en bonne santé. Cet essai est actuellement en phase de recrutement.

Pour des renseignements supplémentaires relatifs aux essais cliniques sur ALUNBRIG et TAK-788, veuillez visiter www.clinicaltrials.gov.

ALUNBRIG® (brigatinib) : IMPORTANTES INFORMATIONS RELATIVES À L’INNOCUITÉ (POUR L'EUROPE)

MISES EN GARDE SPÉCIALES ET PRÉCAUTIONS D’EMPLOI

Effets indésirables pulmonaires : Des effets indésirables pulmonaires graves, mettant en jeu le pronostic vital ou mortels, peuvent se produire, y compris des effets évoquant une maladie pulmonaire interstitielle (MPI)/pneumopathie. La plupart des effets indésirables pulmonaires ont été observés au cours des 7 premiers jours de traitement. Les effets indésirables pulmonaires de grade 1-2 se sont résolus avec une interruption du traitement ou une modification de la dose. L'augmentation de l'âge et le raccourcissement de l'intervalle (moins de 7 jours) entre la dernière dose de crizotinib et la première dose d'ALUNBRIG ont été indépendamment associés à une augmentation de la fréquence de ces effets indésirables pulmonaires. Tenir compte de ces facteurs lorsque vous commencez un traitement par ALUNBRIG. Certains patients ont souffert d'une pneumopathie plus tard au cours du traitement par ALUNBRIG. Les patients doivent être suivis pour détecter tout nouveau symptôme respiratoire ou toute aggravation de celui-ci (par exemple dyspnée, toux, etc.), en particulier au cours de la première semaine de traitement. Tout signe de pneumopathie chez un patient dont les symptômes respiratoires s'aggravent doit être rapidement examiné. En cas de suspicion de pneumonie, la dose d'ALUNBRIG doit être suspendue, et le patient doit être évalué pour d'autres causes de symptômes (par exemple embolie pulmonaire, progression tumorale et pneumonie infectieuse). La dose doit être modifiée en conséquence.

Hypertension : Des cas se sont produits. La pression artérielle doit être surveillée régulièrement pendant un traitement par ALUNBRIG. L'hypertension doit être traitée conformément aux directives standard pour contrôler la pression artérielle. La fréquence cardiaque doit être surveillée plus fréquemment chez les patients si l'utilisation concomitante d'un médicament connu pour provoquer une bradycardie ne peut être évitée. En cas d'hypertension grave (≥ Grade 3), ALUNBRIG doit être suspendu jusqu'à ce que l'hypertension soit revenue au grade 1 ou au niveau de référence. La dose doit être modifiée en conséquence.

Bradycardie : Des cas se sont produits. La prudence est de mise lors de l'administration d'ALUNBRIG en combinaison avec d'autres agents pouvant provoquer une bradycardie. La fréquence cardiaque et la tension artérielle doivent être contrôlées régulièrement. Le traitement par ALUNBRIG doit être interrompu en cas de bradycardie symptomatique. Les médicaments concomitants connus pour provoquer une bradycardie doivent être évalués. Une fois le patient rétabli, la dose doit être modifiée en conséquence. En cas de bradycardie potentiellement mortelle, il faut arrêter définitivement le traitement par ALUNBRIG si aucun médicament concomitant n'est identifié ou en cas de récidive. Si une médication concomitante contributive est identifiée, il faut modifier la dose en conséquence.

Troubles visuels : Des cas se sont produits avec ALUNBRIG. Il faut conseiller aux patients de signaler tout symptôme visuel. En cas de nouveaux symptômes visuels graves ou d'aggravation de ceux-ci, il convient d'envisager une évaluation ophtalmologique et une réduction de la dose.

Élévation de la créatine phosphokinase (CPK) : Des cas se sont produits. Conseiller aux patients de signaler toute douleur, sensibilité ou faiblesse musculaire inexpliquée. Surveiller régulièrement les niveaux de CPK durant le traitement. En fonction de la gravité de l'élévation de la CPK, interrompre le traitement par ALUNBRIG et modifier la dose en conséquence.

Élévation des enzymes pancréatiques : Des élévations de l'amylase et de la lipase se sont produites. La lipase et l'amylase doivent être surveillées régulièrement pendant un traitement par ALUNBRIG. En fonction de la gravité des anomalies biologiques, il convient d’interrompre le traitement par ALUNBRIG et de modifier la dose en conséquence.

Hépatotoxicité : Des élévations des enzymes hépatiques (aspartate aminotransférase, alanine aminotransférase) et de la bilirubine ont été observées. La fonction hépatique, y compris l'ASAT, l'ALAT et la bilirubine totale, doit être évaluée avant le début d’un traitement par ALUNBRIG, puis toutes les 2 semaines pendant les 3 premiers mois de traitement. Par la suite, une surveillance doit être effectuée périodiquement. En fonction de la gravité des anomalies biologiques, il convient d’interrompre le traitement par ALUNBRIG et de modifier la dose en conséquence.

Hyperglycémie : Des élévations du glucose sérique se sont produites. La glycémie à jeun doit être évaluée avant le début d’un traitement par ALUNBRIG et surveillée périodiquement par la suite. Un traitement antihyperglycémique doit être initié ou optimisé selon les besoins. Si une prise en charge médicale optimale ne permet pas de contrôler l’hyperglycémie de manière satisfaisante, ALUNBRIG doit être suspendu jusqu'à ce qu'un contrôle satisfaisant de l’hyperglycémie soit atteint ; après récupération, une réduction de la dose peut être envisagée ou ALUNBRIG peut être arrêté définitivement.

Interactions médicamenteuses : L'utilisation concomitante d'ALUNBRIG avec des inhibiteurs puissants du CYP3A doit être évitée. Si l'utilisation concomitante d'inhibiteurs puissants du CYP3A ne peut être évitée, réduire la dose d'ALUNBRIG de 180 mg à 90 mg, ou de 90 mg à 60 mg. Après l'arrêt d'un inhibiteur puissant du CYP3A, ALUNBRIG doit être repris à la dose qui était tolérée avant le début de l'utilisation de l'inhibiteur puissant du CYP3A. L'utilisation concomitante d'ALUNBRIG avec des inducteurs puissants et modérés du CYP3A doit être évitée.

Fertilité : Il faut conseiller aux femmes en âge de procréer d'utiliser une contraception non hormonale efficace pendant un traitement par ALUNBRIG, et pendant au moins 4 mois après la dernière dose. Il faut conseiller aux hommes ayant des partenaires féminines en âge de procréer d'utiliser une contraception efficace pendant le traitement, et pendant au moins 3 mois après la dernière dose d'ALUNBRIG.

Lactose : ALUNBRIG contient du lactose monohydraté. Les patients présentant de rares problèmes héréditaires d'intolérance au galactose, de carence totale en lactase ou de malabsorption du glucose-galactose ne doivent pas prendre ce médicament.

EFFETS INDÉSIRABLES

Les effets indésirables les plus fréquents (≥ 25 %) signalés chez les patients traités par ALUNBRIG au schéma posologique recommandé ont été : augmentation de l'ASAT, hyperglycémie, hyperinsulinémie, anémie, élévation de la CPK, nausées, élévation de la lipase, réduction de la numération lymphocytaire, élévation de l'ALAT, diarrhée, élévation de l'amylase, fatigue, toux, céphalées, élévation de la phosphatase alcaline, hypophosphatémie, élévation du TTPa, éruptions cutanées, vomissements, dyspnée, hypertension, diminution du nombre de globules blancs, myalgie et neuropathie périphérique.

Les effets indésirables graves les plus fréquents (≥ 2 %) signalés chez les patients traités par ALUNBRIG selon le schéma posologique recommandé, autres que les événements liés à la progression du néoplasme, ont été : pneumopathie, pneumonie et dyspnée.

UTILISATION DANS DES POPULATIONS PARTICULIÈRES

Utilisation gériatrique : Les données limitées sur l'innocuité et l'efficacité d'ALUNBRIG chez les patients âgés de 65 ans et plus suggèrent qu'un ajustement de la dose n'est pas nécessaire chez les patients âgés. Aucune donnée n’est disponible pour les patients de plus de 85 ans.

Insuffisance hépatique : Aucun ajustement de la dose d'ALUNBRIG n'est nécessaire pour les patients souffrant d'une insuffisance hépatique légère (Child-Pugh classe A) ou modérée (Child-Pugh classe B). Une dose initiale réduite de 60 mg une fois par jour pendant les 7 premiers jours, puis de 120 mg une fois par jour est recommandée pour les patients souffrant d'une insuffisance hépatique grave (Child-Pugh classe C).

Insuffisance rénale : Aucun ajustement de la dose d'ALUNBRIG n'est nécessaire pour les patients souffrant d'insuffisance rénale légère ou modérée (taux de filtration glomérulaire estimé (eGFR) ≥ 30 ml/min). Une dose initiale réduite de 60 mg une fois par jour pendant les 7 premiers jours, puis de 90 mg une fois par jour est recommandée pour les patients atteints d'insuffisance rénale grave (eGFR < 30 ml/min). Les patients atteints d'insuffisance rénale grave doivent être surveillés de près pour détecter tout nouveau symptôme respiratoire ou toute aggravation d'un symptôme respiratoire qui pourrait indiquer une MPI ou une pneumopathie (par exemple dyspnée, toux, etc.), en particulier au cours de la première semaine.

Utilisation pédiatrique : L'innocuité et l'efficacité d'ALUNBRIG chez les patients de moins de 18 ans n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible.

INFORMATIONS IMPORTANTES RELATIVES À L’INNOCUITÉ D’ALUNBRIG (POUR LES ÉTATS-UNIS)

MISES EN GARDE ET PRÉCAUTIONS
Maladie pulmonaire interstitielle (MPI)/pneumopathie :
Des réactions indésirables graves, mettant en jeu le pronostic vital ou mortelles, de nature pulmonaire et évoquant une maladie pulmonaire interstitielle (MPI)/pneumopathie, sont survenues avec ALUNBRIG. Dans l’essai ALTA (ALTA), une MPI/pneumopathie est survenue chez 3,7 % des patients dans le groupe à 90 mg (dose quotidienne unique de 90 mg) et chez 9,1 % des patients dans le groupe 90→180 mg (dose quotidienne unique de 180 mg après une période préparatoire de sept jours à 90 mg en dose quotidienne unique). Des réactions indésirables évoquant une possible MPI/pneumopathie sont survenues précocement (dans un délai de 9 jours après avoir commencé la prise d’ALUNBRIG ; délai d’apparition médian de 2 jours) chez 6,4 % des patients, des réactions de grade 3 ou 4 survenant chez 2,7 % d’entre eux. Surveiller l’apparition ou l’aggravation de symptômes respiratoires (par ex. dyspnée, toux, etc.), en particulier durant la première semaine de prise d’ALUNBRIG. Ne pas administrer ALUNBRIG à un patient présentant des symptômes respiratoires nouveaux ou s'aggravant, et évaluer rapidement pour détecter une éventuelle MPI/pneumopathie ou d'autres causes de symptômes respiratoires (per ex. embolie pulmonaire, progression tumorale ou pneumonie infectieuse). Pour une MPI/pneumopathie de grade 1 ou 2, vous pouvez soit reprendre l'administration d'ALUNBRIG en réduisant la dose après récupération jusqu'au niveau de base, soit arrêter définitivement l'administration du médicament. Arrêter définitivement l'administration d'ALUNBRIG en cas de MPI/pneumopathie de grade 3 ou 4, ou de réapparition d’une MPI/pneumopathie de grade 1 ou 2.

Hypertension : Durant l'essai ALTA, une hypertension a été signalée chez 11 % des patients du groupe à 90 mg ayant reçu ALUNBRIG et chez 21 % des patients du groupe 90→180 mg. Une hypertension de grade 3 s'est produite chez 5,9 % de l'ensemble des patients. Contrôler la tension artérielle avant un traitement par ALUNBRIG. Surveiller la tension artérielle après 2 semaines, puis au moins une fois par mois durant un traitement par ALUNBRIG. Arrêter l'administration d'ALUNBRIG en cas d'hypertension de grade 3 malgré un traitement antihypertenseur optimal. Après résolution ou retour à une gravité de grade 1, reprendre l'administration d'ALUNBRIG en réduisant la dose. Envisager un arrêt définitif du traitement par ALUNBRIG en cas d'hypertension de grade 4 ou de réapparition d'une hypertension de grade 3. Soyez prudent en cas d'administration d'ALUNBRIG en combinaison avec des agents antihypertenseurs causant une bradycardie.

Bradycardie : Une bradycardie peut subvenir avec ALUNBRIG. Durant l'essai ALTA, des rythmes cardiaques inférieurs à 50 battements par minute se sont produits chez 5,7 % des patients du groupe à 90 mg et chez 7,6 % des patients du groupe 90→180 mg. Une bradycardie de grade 2 s'est produite chez 1 (0,9 %) patient du groupe à 90 mg. Surveiller la fréquence cardiaque et la tension artérielle durant un traitement par ALUNBRIG. Surveiller plus fréquemment les patients si l'utilisation concomitante d'un médicament connu pour causer de la bradycardie ne peut être évitée. En cas de bradycardie symptomatique, arrêter l'administration d'ALUNBRIG et évaluer les médications concomitantes qui sont connues pour causer une bradycardie. Si un médicament concomitant connu pour causer une bradycardie est identifié et son administration interrompue ou ajustée, reprendre l'administration d'ALUNBRIG au même dosage après disparition de la bradycardie symptomatique ; sinon, réduire la dose d'ALUNBRIG après disparition de la bradycardie symptomatique. Arrêter l'administration d'ALUNBRIG en cas de bradycardie potentiellement mortelle si aucun médicament contribuant concomitant n'est identifié.

Troubles visuels : Durant l'essai ALTA, des réactions indésirables conduisant à des troubles visuels, notamment une vision floue, une diplopie et une acuité visuelle réduite, ont été signalées chez 7,3 % des patients traités avec ALUNBRIG dans le groupe à 90 mg et chez 10 % des patients dans le groupe 90→180 mg. Un œdème maculaire de grade 3 et une cataracte se sont produits chez un patient chacun du groupe 90→180 mg. Conseiller aux patients de signaler tout symptôme visuel. Arrêter l'administration d'ALUNBRIG et demander une évaluation ophtalmologique pour les patients présentant des symptômes visuels nouveaux ou s'aggravant, de grade 2 ou d'une gravité supérieure. Après retour des troubles visuels de grade 2 ou 3 au grade 1 ou au niveau de référence, reprendre l'administration d'ALUNBRIG en réduisant la dose. Arrêter définitivement le traitement par ALUNBRIG en cas de troubles visuels de grade 4.

Élévation de la créatine phosphokinase (CPK) : Durant l'essai ALTA, une élévation de la créatine phosphokinase (CPK) s'est produite chez 27 % des patients recevant ALUNBRIG dans le groupe à 90 mg et chez 48 % des patients dans le groupe 90→180 mg. L'incidence de l'élévation de la CPK de grade 3 ou 4 était de 2,8 % dans le groupe à 90 mg et de 12 % dans le groupe 90→180 mg. Une réduction de dose en raison d'une élévation de la CPK a été effectuée chez 1,8 % des patients dans le groupe à 90 mg et chez 4,5 % de ceux du groupe 90→180 mg. Conseiller aux patients de signaler toute douleur, sensibilité ou faiblesse musculaire inexpliquée. Surveiller les niveaux de CPK durant un traitement par ALUNBRIG. Arrêter l'administration d'ALUNBRIG en cas d'élévation de la CPK de grade 3 ou 4. Après résolution ou retour au grade 1 ou au niveau de référence, reprendre l'administration d'ALUNBRIG à la même dose ou à une dose réduite.

Élévation des enzymes pancréatiques : Durant l'essai ALTA, une élévation de l'amylase s'est produite chez 27 % des patients du groupe à 90 mg et chez 39 % des patients du groupe 90→180 mg. Une élévation de la lipase s'est produite chez 21 % des patients du groupe à 90 mg et chez 45 % des patients du groupe 90→180 mg. Une élévation de l'amylase de grade 3 ou 4 s'est produite chez 3,7 % des patients du groupe à 90 mg et chez 2,7 % des patients du groupe 90→180 mg. Une élévation de la lipase de grade 3 ou 4 s'est produite chez 4,6 % des patients du groupe à 90 mg et chez 5,5 % des patients du groupe 90→180 mg. Surveiller la lipase et l'amylase durant un traitement par ALUNBRIG. Arrêter l'administration d'ALUNBRIG en cas d'élévation des enzymes pancréatiques de grade 3 ou 4. Après résolution ou retour au grade 1 ou au niveau de référence, reprendre l'administration d'ALUNBRIG à la même dose ou à une dose réduite.

Hyperglycémie : Durant l'essai ALTA, 43 % des patients ayant reçu ALUNBRIG ont souffert d'une hyperglycémie nouvelle ou s’aggravant. Une hyperglycémie de grade 3, basée sur une évaluation en laboratoire des niveaux de glycémie à jeun, s'est produite chez 3,7 % des patients. Deux patients sur 20 (10 %) atteints de diabète ou d'intolérance au glucose au départ ont eu besoin de commencer une insulinothérapie durant l'administration d'ALUNBRIG. Évaluer la glycémie à jeun avant de commencer l'administration d'ALUNBRIG et la surveiller périodiquement par la suite. Débuter ou optimiser l'administration de médicaments anti-hyperglycémiques, en fonction des besoins. Si un contrôle approprié de l’hyperglycémie ne peut être obtenu avec une gestion médicale optimale, arrêter l'administration d'ALUNBRIG jusqu'à obtention d'un contrôle approprié de l’hyperglycémie, et envisager une réduction du dosage d'ALUNBRIG ou l'arrêt définitif du médicament.

Toxicité embryo-fœtale : Compte tenu de son mécanisme d'action et des résultats obtenus sur les animaux, ALUNBRIG peut nuire au fœtus en cas d'administration à la femme enceinte. Il n'existe pas de données cliniques sur l'utilisation d'ALUNBRIG chez la femme enceinte. Informer les femmes enceintes du risque potentiel pour le fœtus. Conseiller aux femmes en âge de procréer d'utiliser un moyen de contraception non hormonal efficace durant un traitement par ALUNBRIG, et pendant au moins 4 mois après l'administration de la dernière dose. Conseiller aux hommes ayant des partenaires féminines en âge de procréer d'utiliser un moyen de contraception efficace durant le traitement, et pendant au moins 3 mois après l'administration de la dernière dose d'ALUNBRIG.

EFFETS INDÉSIRABLES
Des réactions indésirables graves se sont produites chez 38 % des patients dans le groupe à 90 mg et chez 40 % des patients dans le groupe 90→180 mg. Les réactions indésirables graves les plus courantes ont été la pneumonie (5,5 % au total, 3,7 % dans le groupe à 90 mg et 7,3 % dans le groupe 90→180 mg) et la MPI/pneumopathie (4,6 % au total, 1,8 % dans le groupe à 90 mg et 7,3 % dans le groupe 90→180 mg). Des réactions indésirables mortelles se sont produites chez 3,7 % des patients et ont pris les formes suivantes : une pneumonie (2 patients), un décès soudain, une dyspnée, une insuffisance respiratoire, une embolie pulmonaire, une méningite bactérienne et une infection urinaire (1 patient pour chaque affection).

Les réactions indésirables les plus communes (≥25 %) dans le groupe à 90 mg ont été les nausées (33 %), la fatigue (29 %), les céphalées (28 %) et la dyspnée (27 %) et, dans le groupe 90→180 mg, les nausées (40 %), la diarrhée (38 %), la fatigue (36 %), la toux (34 %) et les céphalées (27 %).

INTERACTIONS MÉDICAMENTEUSES
Inhibiteurs du CYP3A : Éviter l'administration concomitante d'ALUNBRIG et d'inhibiteurs puissants ou modérés du CYP3A. Éviter les pamplemousses et le jus de pamplemousse car ils pourraient également augmenter les concentrations plasmatiques de brigatinib. Si l'administration concomitante d'un inhibiteur puissant ou modéré du CYP3A ne peut être évitée, réduire la dose d'ALUNBRIG.
Inducteurs du CYP3A : Éviter l'administration concomitante d'ALUNBRIG et d'inducteurs puissants ou modérés du CYP3A. Si l'administration concomitante d'inducteurs modérés du CYP3A ne peut être évitée, augmenter la dose d'ALUNBRIG.
Substrats du CYP3A : L’administration concomitante d'ALUNBRIG et de substrats sensibles du CYP3A, y compris des contraceptifs hormonaux, peut provoquer une réduction des concentrations et une perte d'efficacité des substrats sensibles du CYP3A.

UTILISATION DANS DES POPULATIONS PARTICULIÈRES
Grossesse :
ALUNBRIG peut nuire au fœtus. Informer les femmes en âge de procréer du risque potentiel pour le fœtus.

Allaitement : Il n'existe aucune donnée sur la sécrétion de brigatinib dans le lait maternel ni sur ses effets sur le nourrisson allaité ou la production de lait. En raison du risque d'effets indésirables chez les nourrissons allaités, il faut conseiller aux femmes allaitantes de ne pas allaiter pendant un traitement par ALUNBRIG.

Femmes et hommes en âge de procréer :
Test de grossesse : Confirmer une éventuelle grossesse chez les femmes en âge de procréer avant de débuter un traitement par ALUNBRIG.
Contraception : Conseiller aux femmes en âge de procréer d'utiliser un moyen de contraception non hormonal efficace durant un traitement par ALUNBRIG, et pendant au moins 4 mois après l'administration de la dernière dose. Conseiller aux hommes ayant des partenaires féminines en âge de procréer d'utiliser un moyen de contraception efficace durant un traitement par ALUNBRIG, et pendant au moins 3 mois après l'administration de la dernière dose.
Stérilité : ALUNBRIG peut provoquer une réduction de la fertilité chez les hommes.

Utilisation pédiatrique : L'innocuité et l'efficacité d'ALUNBRIG chez les patients pédiatriques n'ont pas été établies.

Utilisation gériatrique : Les études cliniques sur ALUNBRIG ne comprenaient pas un nombre suffisant de patients âgés de 65 ans ou plus pour déterminer s'ils répondent différemment des patients plus jeunes.

Insuffisance hépatique ou rénale : Aucun ajustement de la dose n'est recommandé pour les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou modérée ou une insuffisance rénale légère ou modérée. Réduire la dose d'ALUNBRIG pour les patients présentant une insuffisance hépatique sévère ou une insuffisance rénale sévère.

Veuillez consulter les informations de prescription complètes d’ALUNBRIG pour les États-Unis sur le site www.ALUNBRIG.com

À propos de Takeda Pharmaceutical Company Limited
Takeda Pharmaceutical Company Limited (TSE:4502/NYSE:TAK) est un leader biopharmaceutique mondial, axé sur la R&D et fondé sur des valeurs ayant son siège social au Japon, qui s'engage à améliorer la santé et l'avenir des patients en traduisant la science en médicaments très innovants. Takeda concentre ses efforts de R&D sur quatre domaines thérapeutiques : l’oncologie, les maladies rares, les neurosciences et la gastroentérologie (GI). Nous réalisons par ailleurs des investissements de R&D ciblés dans les thérapies dérivées du plasma et les vaccins. Nous nous concentrons sur le développement de médicaments très innovants qui contribuent à faire une différence dans la vie des personnes en repoussant les limites des nouvelles options de traitement et en tirant profit de notre moteur de R&D collaboratif perfectionné et de nos capacités pour créer un robuste pipeline aux modalités diverses. Nos employés s'engagent à améliorer la qualité de vie des patients et à travailler avec nos partenaires dans le secteur de la santé dans environ 80 pays.

Pour plus d'informations, veuillez visiter https://www.takeda.com.

Avis important
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Les sociétés dans lesquelles Takeda détient directement ou indirectement des investissements sont des entités séparées. Dans le présent communiqué de presse, « Takeda » est parfois utilisé par commodité lorsqu’il est fait référence à Takeda ou à ses filiales en général. De même, les termes « nous », « notre » et « nos » sont également utilisés pour désigner des filiales en général ou les personnes qui travaillent pour elles. Ces expressions sont également utilisées lorsque l’identification de telle(s) société(s) ne sert aucun but utile.

Énoncés prospectifs
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1 Organisation mondiale de la santé. Dernières données mondiales sur le cancer. https://www.who.int/cancer/PRGlobocanFinal.pdf. Consulté le 11 mai 2019.
2 American Cancer Society. What is Non-Small Cell Lung Cancer? https://www.cancer.org/cancer/non-small-cell-lung-cancer/about/what-is-non-small-cell-lung-cancer.html. Consulté le 11 mai 2019.
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4 Gainor JF, Varghese AM, Ou SH, et al. Clin Cancer Res. 2013;19(15):4273-81.
5 Koivunen JP, Mermel C, Zejnullahu K, et al. Clin Cancer Res. 2008; 14(13):4275-83.
6 Wong DW, Leung EL, So KK, et al. Cancer. 2009; 115(8):1723-33.
7 Chia PL, Mitchell P, Dobrovic A, John T. Clin Epidemiol, 2014;6:423-432.

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