Synthèse

● D'une manière générale, la société présente des fondamentaux de mauvaise qualité dans le cadre d'une stratégie d'investissement à moyen et long termes.

● Dans une optique d'investissement de court terme, la société présente une configuration fondamentale dégradée.


Points forts

● La zone actuelle constitue un bon point d'entrée pour les investisseurs intéressés par le dossier dans une optique à moyen / long terme. En effet, le titre évolue à proximité du support des 25 EUR en données hebdomadaires.

● D'un point de vue graphique, le timing apparaît opportun à proximité du support des 25.13 EUR.

● La société bénéficie de niveaux de valorisation attractifs avec un ratio VE/CA relativement faible comparé aux autres sociétés cotées dans le monde.

● La société fait partie des valeurs de rendement avec un dividende attendu relativement important.

● Les analystes sont positifs sur le titre. Le consensus moyen recommande l'achat ou la surpondération de la valeur.

● L'écart entre les cours actuels et l'objectif de cours moyen des analystes qui couvrent le dossier est relativement important et suppose un potentiel d'appréciation conséquent.


Points faibles

● Le groupe fait partie des entreprises dont les perspectives de croissance apparaissent les plus faibles d'après les estimations d'analystes.

● Les publications du groupe ont souvent déçu par le passé, avec des écarts négatifs relativement importants par rapport aux attentes.

● Les prévisions de chiffre d'affaires des analystes couvrant la société ont été récemment revues à la baisse. Un tassement de l'activité est nouvellement anticipé.

● La tendance des révisions de chiffre d'affaires sur l'année écoulée est clairement baissière ; les prévisions de ventes ont été revues régulièrement à la baisse par les analystes.

● Au cours des 4 derniers mois, les profits attendus par les analystes couvrant le dossier ont été largement revus à la baisse.

● Sur les 12 derniers mois, le momentum des révisions de bénéfices ressort largement négatif. D'une manière générale, les analystes anticipent désormais une profitabilité inférieure à leurs estimations un an plus tôt.