Valbiotis : en phase de présenter ses résultats précliniques contre les maladies du foie gras
Le 28 octobre 2022 à 08:09
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Valbiotis, entreprise de recherche et développement engagée dans l'innovation scientifique, présentera les résultats précliniques significatifs de sa substance active TOTUM 448 substance active non médicamenteuse, basée sur le végétal, contre les atteintes métaboliques du foie, ou maladies du foie gras (NAFL et NASH) au congrès annuel de l’American Association for the Study (AASLD) du 4 au 8 novembre 2022. Ces résultats démontrent l’efficacité de TOTUM 448 dès les premiers stades de ces maladies, sur la stéatose, l’inflammation et la fibrose hépatiques.
Les deux études présentées ont été réalisées par les équipes de Valbiotis, dans son centre de R&D de Riom (Puy-de-Dôme) en collaboration avec les Hospices Civils de Lyon et par les équipes de l'Université de Leiden (Pays-Bas).
Pascal Sirvent, directeur de la Discovery, de la recherche préclinique et translationnelle, et membre du directoire de Valbiotis a déclaré : " Les excellents résultats qui seront présentés récompensent un travail approfondi de conception, de perfectionnement et de tests exigeants de TOTUM 448, une substance active innovante, basée sur les plantes. TOTUM 448 est le fruit de notre expertise combinée du végétal et des maladies métaboliques, et a été spécifiquement conçue pour les atteintes métaboliques du foie, ou maladies du foie gras comme la NASH. "
VALBIOTIS est une société française de Recherche & Développement engagée dans l'innovation scientifique, pour la prévention et la lutte contre les maladies métaboliques. Les produits sont destinés aux industriels de l'agro-alimentaire, et de l'industrie pharmaceutique. La société intervient notamment pour la prévention du diabète de type 2, de la NASH (stéatohépatite non-alcoolique), de l'obésité et des pathologies cardio-vasculaires.
VALBIOTIS a noué de nombreux partenariats avec des centres académiques d'excellence en France et à l'étranger, dont notamment l'Université de la Rochelle, le CNRS, et l'Université Clermont Auvergne située à Clermont-Ferrand, où la société a ouvert un établissement secondaire. Ces accords lui permettent de bénéficier depuis sa création d'un fort effet de levier grâce notamment à des experts et à des partenaires techniques mobilisés sur ses projets.