• Raiffeisen et Vontobel continueront à collaborer dans certains domaines même après fin de leur contrat de coopération

    Saint-Gall / Zurich, 9 février 2016. Raiffeisen et Vontobel continueront à collaborer même après la fin du contrat de coopération en juin 2017. Vontobel reste partenaire de Raiffeisen et de ses filiales dans le cadre de certains volets de la gestion des actifs et des opérations sur titres.

    Suite à la résiliation du contrat de coopération pour mi-2017 et aux litiges devant le tribunal arbitral, les deux partenaires ont conclu, dans le cadre de discussions conjointes, qu'une collaboration dans certains domaines demeurait avantageuse.

    Les nouveaux accords portent sur la coopération dans les domaines des produits de placement et du traitement des opérations sur titres, et se prolongeront au moins jusqu'à la fin 2020.

    Le contrat de coopération actuel reste valide jusqu'à son expiration en juin 2017.

    Patrik Gisel, CEO de Raiffeisen Suisse: «Il est dans l'intérêt de nos clients de poursuivre la coopération dans certains domaines. Ainsi, nos deux entreprises bénéficieront d'une base nous permettant de proposer de nouveaux produits, modèles et processus proches de notre activité.»

    Zeno Staub, CEO de Vontobel: «Nous sommes ravis que Vontobel demeure un partenaire important pour les services et les produits de Raiffeisen au-delà de 2017. Grâce à ce partenariat, les clients de Raiffeisen profiteront, à l'avenir également, d'une offre de produits et de services performants.»

    Informations:

    Service de presse de Raiffeisen Suisse

    Philippe Thévoz / Sylvie Pidoux

    +41 21 612 50 71 / +41 21 612 50 39

    presse@raiffeisen.ch

    Service de presse de Vontobel:

    Peter Dietlmaier / Rebeca Garcia

    +41 58 283 59 30 / +41 58 283 76 69

    peter.dietlmaier@vontobel.ch / rebeca.garcia@vontobel.ch

    Investor Relations Vontobel:

    Michel Roserens, +41 58 283 76 97

    michel.roserens@vontobel.ch

    Raiffeisen: troisième groupe bancaire de Suisse
    Le Groupe Raiffeisen est la première banque retail en Suisse. Le troisième acteur du marché bancaire suisse compte 1,9 million sociétaires et donc copropriétaires de leur Banque Raiffeisen. Le Groupe Raiffeisen est présent sur 1'004 sites en Suisse. Les 292 Banques Raiffeisen, qui sont des coopératives juridiquement autonomes, sont regroupées au sein de Raiffeisen Suisse société coopérative. Celle-ci dirige l'ensemble du Groupe Raiffeisen à l'échelle stratégique. Notenstein Banque Privée SA et Vescore SA sont des filiales de Raiffeisen Suisse société coopérative. Au 30.06.2015, le Groupe Raiffeisen affichait 200 milliards de francs de fortune de la clientèle gérée et 162 milliards de francs de prêts et crédits à la clientèle. La part de marché est de 16,7% dans le domaine hypothécaire et de 18,5% dans celui de l'épargne. Le total du bilan se monte à 201 milliards de francs.

    Vontobel
    Vontobel a pour objectif de protéger et d'augmenter sur le long terme les avoirs confiés par les clients. Spécialisés dans la gestion de fortune active et dans les solutions de placement sur mesure, nous offrons un conseil responsable et prévoyant. Ainsi, nous nous engageons à délivrer un service de qualité suisse et performant. La famille propriétaire s'y engage, de par son nom, depuis des générations. Fin juin 2015, les actifs clientèle confiés à Vontobel s'élevaient à CHF 181 milliards. Plus de 1 400 collaborateurs dans le monde entier fournissent des prestations de services de haut niveau et sur mesure à une clientèle internationale. Les actions nominatives de Vontobel Holding AG sont cotées à la SIX Swiss Exchange. Les familles Vontobel et la fondation d'utilité publique Vontobel possèdent la majorité des actions et des voix. www.vontobel.com

  • Vontobel Mobile Private Banking se dote d'une fonction de trading - Vontobel développe constamment le canal numérique pour la clientèle privée

    A compter du 9 février, la nouvelle fonction de trading permettra aux clients privés d'effectuer leurs transactions en tout temps et tout lieu via Vontobel Mobile Private Banking. Le canal numérique, lancé voici un an et constamment étoffé, constitue un complément optimal à la prestation de conseil individuelle délivrée par le conseiller.

    Depuis l'inauguration il y a un an de Vontobel Mobile Private Banking, Vontobel n'a cessé de développer son offre numérique à destination des clients privés qui peuvent aujourd'hui, depuis un terminal mobile comme la tablette ou le smartphone, s'informer en détail sur la plateforme de conseil numérique. Le client a notamment accès à l'ensemble des informations concernant ses comptes et portefeuilles, à une multitude d'idées d'investissement, à une analyse complète et primée ainsi qu'à des données de marché. Par ailleurs, la fonction de messagerie lui offre un canal de communication supplémentaire et sécurisé avec son conseiller personnel.

    Dès le 9 février, les clients privés en Suisse pourront acheter et vendre des titres à tout moment et en tout lieu par le biais de Vontobel Mobile Private Banking, en opérant s'ils le souhaitent avec des limites telles que le stop loss. La fonction d'aperçu permet au client de garder à l'œil les ordres en suspens et de les traiter au besoin.

    «Vontobel Mobile Private Banking offre aux clients l'option de s'informer en tout temps et en tout lieu sur leurs placements et, partant de là, de réaliser directement leurs transactions boursières. Ce service numérique constitue un complément idéal à la prestation de conseil prodiguée par le conseiller attitré. Nous recourons de manière ciblée à la technologie pour améliorer notre service à la clientèle, compléter notre service de conseil individuel et renforcer notre compétence en tant que gestionnaire de fortune actif», déclare Georg Schubiger, responsable Private Banking de Vontobel.

    Grâce aux perfectionnements apportés à Vontobel Mobile Private Banking, les clients pourront, d'ici le milieu de l'année, visualiser des documents tels que les relevés bancaires et établir des rapports individuels même sur leur terminal mobile. En parallèle, Vontobel Mobile Private Banking continuera d'être déployé pour les clients au niveau européen.

    Contacts

    Media Relations:
    Rebeca Garcia
    +41 (0)58 283 76 69
    Michel Roserens
    Michel Roserens
    +41 (0)58 283 76 97
  • Transition économique : La Chine a encore un long chemin devant elle


    « Un pays, deux systèmes » : cette fameuse formule énoncée par l'ancien dirigeant chinois Deng Xiaoping a bien servi le pays. En effet, la coexistence d'une économie de style occidental à Hong Kong et d'un système centralisé a permis à la Chine d'atteindre des taux de croissance spectaculaires au cours des dernières décennies. Les responsables chinois ont pu s'en attribuer le mérite. Cependant, la confiance en leur aptitude à gérer l'économie s'est effritée suite au fléchissement de la croissance et aux interventions maladroites du gouvernement sur les marchés d'actions du pays.

    La Chine a sans doute fait beaucoup de chemin depuis son ouverture au monde sous Deng Xiaoping à la fin des années 1970 : son produit intérieur brut s'est accru à un rythme époustouflant et le niveau de vie a augmenté de manière impressionnante. Cependant, ce succès est devenu de plus en plus tributaire du crédit et par trop dépendant de l'investissement dans des domaines tels que l'immobilier et l'industrie lourde. Au troisième plénum du Comité central du Parti communiste chinois en novembre 2013, les dirigeants du pays ont reconnu qu'un rééquilibrage de l'économie en faveur de la consommation et des services était nécessaire, et ils ont esquissé un ambitieux plan à long terme visant à laisser un plus grand rôle aux forces du marché. Mais ceci est plus vite dit que fait, et le ralentissement conjoncturel s'est avéré plus fort que prévu. En outre, les politiques économiques et monétaires ont manqué de cohérence, au point de déclencher une crise de confiance. Preuve en est le recul significatif des réserves de change au cours des 18 derniers mois (voir le graphique 1).

    Graphique 1 : Recul des réserves de change de la Chine à partir d'un niveau élevé

    en milliards de dollars américains

    Sources : Thomson Reuters Datastream, Vontobel Asset Management

    Un fossé béant entre les déclarations et les actes
    Le gouvernement semble poursuivre des objectifs qui s'excluent mutuellement. Par exemple, la lutte contre la dépréciation du yuan chinois par la vente de réserves de change empêche la Banque populaire de Chine (PBoC) d'assouplir sa politique monétaire à un moment où cela serait grandement nécessaire. De même, les autorités ont constaté de très fortes surcapacités dans des industries telles que l'acier, le ciment ou le charbon, mais hésitent à s'attaquer au problème de peur d'une poussée du chômage qui menacerait la stabilité sociale. Enfin, le gouvernement reconnait - à juste titre - que pour augmenter le revenu par habitant, les acteurs économiques ont besoin d'un plus grand degré de liberté. Il continue cependant d'intervenir lorsque les marchés se comportent « mal » - c'est-à-dire lorsqu'ils n'évoluent pas selon le scénario souhaité. L'ingérence massive et répétée des autorités chinoises dans l'évolution des bourses locales depuis l'été 2015 illustre bien ces contradictions.

    Le problème central de la Chine réside dans le fait qu'il n'existe aucune solution aisée pour réduire la montagne de dettes accumulée au fil des ans suite aux investissements colossaux dans des domaines à rentabilité en diminution rapide (voir le graphique 2). Il en résulte un déclin tendanciel des profits économiques au moment même où la désinflation s'est généralisée, créant un grand problème de viabilité de la dette. En règle générale, les pays confrontés à un tel déséquilibre connaissent une crise majeure accompagnée d'un plongeon de la monnaie et de la production, qui finit par préparer la voie à une reprise durable. Vu ses amples réserves de change, sa balance commerciale positive et sa capacité à contrôler le yuan, la Chine est en mesure de retarder ou d'atténuer ces ajustements nécessaires. Elle ne pourra toutefois pas échapper éternellement aux lois de la gravité.

    Graphique 2 : Hausse dramatique des prêts aux entreprises et aux ménages chinois

    en pourcentage du produit intérieur brut

    Sources : Thomson Reuters Datastream, Vontobel Asset Management

    Le prix du pétrole devrait rebondir au second semestre 2016
    Le ralentissement conjoncturel en Chine a porté un coup aux prix des matières premières, avec des conséquences alarmantes pour les marchés émergents en général et les pays producteurs de matières premières et sociétés minières en particulier. Nous avions identifié ces problèmes relativement tôt et maintenu à un minimum notre exposition aux marchés émergents et aux actifs liés aux matières premières, mais avions introduit une « surpondération » des actions (via des titres des pays industrialisés) pendant la correction de décembre 2015. Ceci s'est avéré prématuré, comme en atteste le repli des bourses constaté depuis le début de l'année 2016.

    Nous conservons notre « légère surpondération » des actions, car nous jugeons la baisse des marchés excessive. Par ailleurs, vu la faiblesse de l'inflation et les risques pesant sur la croissance économique, nous anticipons une réaction des banques centrales qui devrait se traduire par une remontée des cours. Cependant, les bénéfices des entreprises restent moroses et le potentiel haussier des marchés d'actions paraît restreint. Dans ce contexte, souplesse tactique et sélectivité rigoureuse restent essentielles.

    Opportunités dans le secteur des matières premières
    Nous avons profité du plongeon des prix du pétrole brut au-dessous de 30 dollars américains pour relever notre position en matières premières de « sous-pondérée » à « neutre », car nous prévoyons un redressement de l'or noir au second semestre. En outre, nous avons réintroduit une position sur l'or vu la probabilité accrue de nouvelles mesures d'assouplissement par les banques centrales et d'afflux potentiels vers les valeurs refuge. Enfin, nous avons réduit notre exposition au dollar américain, car le ratio risque/rendement nous paraît bien équilibré à court terme.

    À la lumière des faits exposés plus haut, il est clair que notre scénario 3 pour 2016 (« Crise de confiance sur les marchés »), considéré comme peu probable il y a peu de temps encore, a gagné en probabilité. Nous restons d'avis que le scénario 1 (« Conjoncture américaine solide, croissance mondiale anémique ») demeure le plus probable. Pour sa part, le scénario 2 (« Robuste expansion américaine, reprise de l'économie mondiale ») peut être laissé de côté pour l'heure (voir notre présentation des scénarios dans l'édition de décembre 2015 de l'Investors' Outlook).

    Cependant, de nouvelles mesures seront requises de la part des autorités monétaires afin que notre scénario de base s'impose. De telles interventions sont nécessaires pour empêcher un durcissement excessif des conditions financières - c'est-à-dire un creusement des écarts de crédit et une chute des marchés d'actions - à même d'affecter l'économie réelle. Dans ce contexte, la Banque centrale européenne (BCE) a récemment réaffirmé sa volonté ferme d'atteindre son objectif d'inflation. Nous nous attendons donc à ce que son président, Mario Draghi, annonce un nouvel assouplissement monétaire lors de la prochaine réunion de la BCE en mars.


  • Transition économique : La Chine a encore un long chemin devant elle


    « Un pays, deux systèmes » : cette fameuse formule énoncée par l'ancien dirigeant chinois Deng Xiaoping a bien servi le pays. En effet, la coexistence d'une économie de style occidental à Hong Kong et d'un système centralisé a permis à la Chine d'atteindre des taux de croissance spectaculaires au cours des dernières décennies. Les responsables chinois ont pu s'en attribuer le mérite. Cependant, la confiance en leur aptitude à gérer l'économie s'est effritée suite au fléchissement de la croissance et aux interventions maladroites du gouvernement sur les marchés d'actions du pays.

    La Chine a sans doute fait beaucoup de chemin depuis son ouverture au monde sous Deng Xiaoping à la fin des années 1970 : son produit intérieur brut s'est accru à un rythme époustouflant et le niveau de vie a augmenté de manière impressionnante. Cependant, ce succès est devenu de plus en plus tributaire du crédit et par trop dépendant de l'investissement dans des domaines tels que l'immobilier et l'industrie lourde. Au troisième plénum du Comité central du Parti communiste chinois en novembre 2013, les dirigeants du pays ont reconnu qu'un rééquilibrage de l'économie en faveur de la consommation et des services était nécessaire, et ils ont esquissé un ambitieux plan à long terme visant à laisser un plus grand rôle aux forces du marché. Mais ceci est plus vite dit que fait, et le ralentissement conjoncturel s'est avéré plus fort que prévu. En outre, les politiques économiques et monétaires ont manqué de cohérence, au point de déclencher une crise de confiance. Preuve en est le recul significatif des réserves de change au cours des 18 derniers mois (voir le graphique 1).

    Graphique 1 : Recul des réserves de change de la Chine à partir d'un niveau élevé

    en milliards de dollars américains

    Sources : Thomson Reuters Datastream, Vontobel Asset Management

    Un fossé béant entre les déclarations et les actes
    Le gouvernement semble poursuivre des objectifs qui s'excluent mutuellement. Par exemple, la lutte contre la dépréciation du yuan chinois par la vente de réserves de change empêche la Banque populaire de Chine (PBoC) d'assouplir sa politique monétaire à un moment où cela serait grandement nécessaire. De même, les autorités ont constaté de très fortes surcapacités dans des industries telles que l'acier, le ciment ou le charbon, mais hésitent à s'attaquer au problème de peur d'une poussée du chômage qui menacerait la stabilité sociale. Enfin, le gouvernement reconnait - à juste titre - que pour augmenter le revenu par habitant, les acteurs économiques ont besoin d'un plus grand degré de liberté. Il continue cependant d'intervenir lorsque les marchés se comportent « mal » - c'est-à-dire lorsqu'ils n'évoluent pas selon le scénario souhaité. L'ingérence massive et répétée des autorités chinoises dans l'évolution des bourses locales depuis l'été 2015 illustre bien ces contradictions.

    Le problème central de la Chine réside dans le fait qu'il n'existe aucune solution aisée pour réduire la montagne de dettes accumulée au fil des ans suite aux investissements colossaux dans des domaines à rentabilité en diminution rapide (voir le graphique 2). Il en résulte un déclin tendanciel des profits économiques au moment même où la désinflation s'est généralisée, créant un grand problème de viabilité de la dette. En règle générale, les pays confrontés à un tel déséquilibre connaissent une crise majeure accompagnée d'un plongeon de la monnaie et de la production, qui finit par préparer la voie à une reprise durable. Vu ses amples réserves de change, sa balance commerciale positive et sa capacité à contrôler le yuan, la Chine est en mesure de retarder ou d'atténuer ces ajustements nécessaires. Elle ne pourra toutefois pas échapper éternellement aux lois de la gravité.

    Graphique 2 : Hausse dramatique des prêts aux entreprises et aux ménages chinois

    en pourcentage du produit intérieur brut

    Sources : Thomson Reuters Datastream, Vontobel Asset Management

    Le prix du pétrole devrait rebondir au second semestre 2016
    Le ralentissement conjoncturel en Chine a porté un coup aux prix des matières premières, avec des conséquences alarmantes pour les marchés émergents en général et les pays producteurs de matières premières et sociétés minières en particulier. Nous avions identifié ces problèmes relativement tôt et maintenu à un minimum notre exposition aux marchés émergents et aux actifs liés aux matières premières, mais avions introduit une « surpondération » des actions (via des titres des pays industrialisés) pendant la correction de décembre 2015. Ceci s'est avéré prématuré, comme en atteste le repli des bourses constaté depuis le début de l'année 2016.

    Nous conservons notre « légère surpondération » des actions, car nous jugeons la baisse des marchés excessive. Par ailleurs, vu la faiblesse de l'inflation et les risques pesant sur la croissance économique, nous anticipons une réaction des banques centrales qui devrait se traduire par une remontée des cours. Cependant, les bénéfices des entreprises restent moroses et le potentiel haussier des marchés d'actions paraît restreint. Dans ce contexte, souplesse tactique et sélectivité rigoureuse restent essentielles.

    Opportunités dans le secteur des matières premières
    Nous avons profité du plongeon des prix du pétrole brut au-dessous de 30 dollars américains pour relever notre position en matières premières de « sous-pondérée » à « neutre », car nous prévoyons un redressement de l'or noir au second semestre. En outre, nous avons réintroduit une position sur l'or vu la probabilité accrue de nouvelles mesures d'assouplissement par les banques centrales et d'afflux potentiels vers les valeurs refuge. Enfin, nous avons réduit notre exposition au dollar américain, car le ratio risque/rendement nous paraît bien équilibré à court terme.

    À la lumière des faits exposés plus haut, il est clair que notre scénario 3 pour 2016 (« Crise de confiance sur les marchés »), considéré comme peu probable il y a peu de temps encore, a gagné en probabilité. Nous restons d'avis que le scénario 1 (« Conjoncture américaine solide, croissance mondiale anémique ») demeure le plus probable. Pour sa part, le scénario 2 (« Robuste expansion américaine, reprise de l'économie mondiale ») peut être laissé de côté pour l'heure (voir notre présentation des scénarios dans l'édition de décembre 2015 de l'Investors' Outlook).

    Cependant, de nouvelles mesures seront requises de la part des autorités monétaires afin que notre scénario de base s'impose. De telles interventions sont nécessaires pour empêcher un durcissement excessif des conditions financières - c'est-à-dire un creusement des écarts de crédit et une chute des marchés d'actions - à même d'affecter l'économie réelle. Dans ce contexte, la Banque centrale européenne (BCE) a récemment réaffirmé sa volonté ferme d'atteindre son objectif d'inflation. Nous nous attendons donc à ce que son président, Mario Draghi, annonce un nouvel assouplissement monétaire lors de la prochaine réunion de la BCE en mars.


  • Vontobel Asset Management continues to grow in the German market and gains René Weinhold as new team leader in Relationship Management

    Vontobel Asset Management has appointed René Weinhold head of the intermediary business. René Weinhold has over 17 years of experience in selling asset management services and previously worked for GAM (formerly Julius Baer) as head of wholesale in Germany. Before this, he held senior sales positions at AXA Fonds Trust and Sun Life in Frankfurt.

    Effectively immediately, René Weinhold will be responsible for client relationships to financial intermediaries, asset managers, family offices and private banks, and will seek to exploit the strong inflows in those areas where Vontobel Asset Management offers top-tier products. The objective is to ramp up growth in this strategically important market segment in the coming years and significantly broaden the bank's client base.

    'Our recruitment of René Weinhold underlines our strong foothold in the German market. Together with René Weinhold we want to take our excellent client service in the intermediary business to the next level and develop new, long-term client relationships,' explains Marko Röder, Head of Global Sales at Vontobel Asset Management.

    Contact

    Media Relations:
    Rebeca Garcia
    +41 (0)58 283 76 69
    Investor Relations:
    Michel Roserens
    +41 (0)58 283 76 97

La Sté Vontobel Holding AG a publié ce contenu, le 09 février 2016 et est seule responsable des informations qui y sont renfermées. Les contenus ont été diffusés non remaniés et non révisés, le 09 février 2016 16:49:12 UTC.

Le document original est consultable sous: https://www.vontobel.com/INT/FR/News/raiffeisen-et-vontobel-continueront-a-collaborer-dans-certains-domaines-meme-apres-fin-de-leur-contrat-de-cooperation