Zai Lab Limited présentera un poster présentant une analyse du moment d'initiation de l'étude PRIME de phase 3 sur le ZEJULA® (niraparib) en tant que traitement d'entretien lors du prochain congrès annuel 2022 de l'International Gynecologic Cancer Society (ICGS). Cette analyse post-hoc de l'étude PRIME de phase 3 a évalué des adultes atteints d'un cancer de l'ovaire avancé nouvellement diagnostiqué qui ont répondu à une chimiothérapie de première ligne à base de platine, et ils ont été randomisés pour recevoir un traitement d'entretien par niraparib ou un placebo dans les 12 semaines suivant la fin de la chimiothérapie. Les résultats sont les suivants : Pour les patients qui ont reçu le traitement par niraparib moins de 9 semaines après la fin de la chimiothérapie, la survie médiane sans progression (SSP) (IC 95 %) a été mesurée à 29,4 mois avec le niraparib contre 8,3 mois avec le placebo (HR =0,31 ; IC 95 %, 0,20–0,48).

Pour les patients ayant reçu le niraparib 9 – ; 12 semaines après la fin de la chimiothérapie, la SSP médiane était de 24,7 mois avec le niraparib contre 10,8 mois avec le placebo (HR=0,60 ; IC à 95%, 0,41–0,89). Le moment de l'initiation du traitement d'entretien par le niraparib n'a pas eu d'impact significatif sur son profil de sécurité. Cette analyse de sous-groupe fournit des preuves pour soutenir l'initiation du traitement d'entretien par niraparib chez les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire avancé nouvellement diagnostiqué dans les 12 semaines suivant la fin de la chimiothérapie.

L'étude PRIME de phase 3, entièrement alimentée, a été évaluée chez 384 patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire avancé qui présentaient une réponse complète ou partielle à une chimiothérapie à base de platine et qui ont été randomisées 2:1 pour recevoir ZEJULA ou un placebo comme traitement d'entretien. L'étude a évalué l'efficacité de ZEJULA en tant que traitement d'entretien, le critère d'évaluation principal étant la SSP, évaluée par un examen central indépendant en aveugle. La dose de départ était individualisée à 200 mg, sauf pour les patients ayant un poids corporel de base = 77kg et une numération plaquettaire = 150K/µL, auquel cas la dose de départ était de 300 mg.